Le gouvernement le reconnaît enfin: La pression fiscale supportée par les salariés

Le gouvernement le reconnaît enfin: La pression fiscale supportée par les salariés

Le gouvernement constate, dans le document portant nouveau modèle économique, une structure atypique des recettes fiscales ordinaires. Cela traduit un effort fiscal non équitablement réparti, lit-on dans le document. La pression fiscale est supportée par les salariés, constate-t-on. Conclusion : le rendement de la fiscalité sur les salaires, c’est-à-dire principalement l’IRG, semble évoluer au-delà des autres postes faisant apparaître la fiscalité salariale comme une source majeure des revenus de l’État.

En effet, les impôts sur les revenus et les bénéfices représentaient 42,1% des recettes fiscales en 2014, les impôts sur les biens et services 36,7%, les droits de douane 17,6%. Ce sont donc les salariés et les entreprises de production de biens et services qui paient le gros des impôts. Une injustice fiscale.



Le document préconise une réforme fiscale qui réoriente en particulier le poids de la fiscalité sur les biens et services et non plus sur les salaires.

LG Algérie