Le front des forces socialistes FFS a émis un communiqué où il a démentit les propos rapportés par le journal El Bilad affirmant que le FFS a répondu favorable à l’appel au dialogue lancé par le président Abdelmadjid Tebboune.
En effet, Affirmant que ce n’est pas la première fois que le pari subit une telle « cabale médiatique de désinformation et de désorientation de l’opinion publique », le FFS a déclaré que « devant ses allégations mensongères contraire à l’éthique journalistique le FFS réitère sa position déjà exprimée dans la déclaration de sa direction nationale du 14 décembre dernier ».
Dans sa mise au point, le front des forces socialistes a réécrit sa position : « D’avance nous mettons en garde le pouvoir contre la tentation d’organiser un pseudo-dialogue sous son égide dans une conférence non souveraine visant à valider une feuille de route préétablie avec un ordre du jour déjà fixé et des participants de son choix ».
Tout en qualifiant Al Bilad « d’organe de propagande par excellence du pouvoir et du chef d’Etat illégitime », le FFS a dénoncé ce qu’il a qualifié de « basses tentatives de certains cercles de détourner le FFS de l’essentiel qui consiste à accompagner le peuple Algérien dans sa révolution jusqu’à l’aboutissement de ses revendications et assoir un État de droit démocratique avec l’avènement d’une deuxième république ».
En conclusion, le parti a mis en garde le pouvoir « d’assumera seul l’entière responsabilité du refus d’écouter les Algériennes et les Algériens ».
