ALGER – Le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH) s’est dit « profondément choqué et bouleversé » par l’acte de violence commis contre un enfant africain à Annaba.
Le conseil a exhorté, dans un communiqué rendu public jeudi, les services compétents à « prendre leurs responsabilités et exercer leurs attributions pour que cet acte ignoble puisse être puni, avec toute la rigueur que requiert la loi pour de telles violences exercées contre une personne vulnérable ».
Il rappelle, à ce propos, « la prohibition des actes de violence contre toute personne, d’autant plus que la Constitution prévoit que l’Etat garantit l’inviolabilité de la personne humaine » et que « toute forme de violence physique ou morale ou d’atteinte à la dignité est proscrite ».
Le CNDH demeure « convaincu » que « cet acte isolé n’entachera en rien les efforts importants déployés par l’Etat en matière de protection et de promotion des droits de l’enfant, qui reste vigilant quant au respect de ses engagements régionaux et internationaux en la matière ».