Il n’y aura pas de représentant algérien en quart de finale de la Ligue des champions CAF, pour la première fois depuis 2013. La JS Kabylie, l’USM Alger, et AC Paradou sont déjà hors course.
Les clubs participants n’ont franchement pas brillé et sans exception, les trois représentants algériens n’ont pas donné satisfaction. En effet, ni l’USMA ni la JSK et encore moins le PAC, dont c’est la première participation, n’ont réussi à faire le poids face aux ténors africains, sans oublier le MCA, déjà éliminé de la Coupe Arabe, peut on expliquer les raisons de cette bérézina ?
Ces clubs de l’élite doivent impérativement justifier les raisons de cet échec et exposer au passage les différents soucis auxquels ils font face avec l’espoir de voir la tutelle les prendre en charge.
En effet, si l’équipe nationale trône sur le toit de l’Afrique depuis le mois de juillet 2019, retrouvant au passage une légitimité internationale incontestable, le football algérien continue à se morfondre dans ses problèmes.
Le parcours des clubs algériens, parmi les mieux classés du championnat, en est la parfaite illustration. Une réforme dans le fond s’impose donc. Et s’en est là l’un des programmes du bureau fédéral et qu’il faudra mener à terme.
A souligner qu’après l’élimination des représentants algériens dès la phase des poules, le championnat algérien n’aura aucun représentant dans le Top 8 des deux compétitions continentales pour la première fois depuis 2005.
