L’autorisation du congrès de L’ISCO est un test pour l’Etat

L’autorisation du congrès de L’ISCO est un test pour l’Etat

L’instance de suivi et de concertation de l’opposition maintient la date de la tenue de son congrès, même si elle n’a pas encore trouver de lieu pour la tenu de ce second rendez-vous jugé important.

Dans une réunion tenue  cet après midi au siège du mouvement Nahda, les membres de l’Isco ont évalué l’état d’avancement du travail des différentes commissions de préparation du  second congrès prévu le 27 mars prochain.



Le secrétaire général du Nahda, Mohamed Douibi a indiqué que les préparations pour le second congrès se déroulent normalement. Par ailleurs, il s’est montré optimiste pour l’obtention de l’agrément, puisque selon ses dires, «tous les partis de l’instance sont agrées», donc il estime qu’il «n’est pas normal que les autorités ne donnent pas d’autorisation a ce congrès». Douibi a considéré aussi qu’après la reconnaissance du droit de l’opposition dans la constitution, «ce congrès est un test» pour vérifier « la bonne volonté» des autorités.

Par ailleurs, dans son allocution d’ouverture de la réunion, a éloigné toute responsabilité de l’Isco dans la situation que connaît le pays actuellement, accusant «ceux qui ont profité de la rente pétrolière» d’être dernière la situation économique, politique et sociale actuelle.

La manière dont la loi de finance 2016, et la révision de la constitution ont été votées «démontre clairement le manque de crédibilité dont souffre l’Etat», ce qui «complique davantage la situation» a-t-il ajouté.

La réunion a lieu en présence de président de parti Talai el houriate, Ali Benflis, et Assoul Zoubida, ainsi que Djilali Sofiane, président de Djil el djadid, et Filali Aouini de mouvement el islah. Ajoutant a cela les  Lakhdar Benkhelaf de parti El Aadala et Ali Yahia Abdenour et d’autres personnalités, alors que le grand  absent a été Mohcene Belabes, président du RCD qui avait un empêchent selon les organisateur.