uniquement l’ouverture d’une usine de montage mais aussi la mise en place d’un tissu de sous-traitants italiens. Des sous-traitants qui devront appuyer l’usine et transférer leur savoir-faire en Algérie.
Concernant le futur cahier des charges relatif au secteur automobile, M. Ferrara a signalé que le ministre a promis que rien ne se fera sans la consultation des acteurs du secteur. « Le ministre a expliqué qu’une consultation nationale sera lancée prochainement pour la mise au point du futur cahier des charges pour l’industrie automobile et qui touchera les opérateurs du secteur en vue de donner lieu à un cahier des charges raisonnables », a-t-il indiqué.
L’ambassadeur n’a pas donné davantage de détails au sujet de ce projet. Plus généralement, il a expliqué que les entreprises italiennes souhaitaient investir en Algérie dans les domaines de l’agro-industrie mais également le secteur des énergies renouvelables et du tourisme. Il a également évoqué la possibilité du lancement d’un projet de montage d’hélicoptères de marque italienne en Algérie avec pour objectif d’exporter vers d’autres pays africains.
Interrogé au sujet de la règle 51/49 imposée par l’Algérie à l’investissement étranger, l’ambassadeur a dit espérer plus de souplesse dans l’application de cette règle uniquement aux secteurs stratégiques.

Ecouter l’émission