L’Ambassade de France à Alger a élevé le nombre de dossiers à étudier pour l’obtention de visas « Schengen » à 1500

L’Ambassade de France à Alger a élevé le nombre de dossiers à étudier pour l’obtention de visas « Schengen » à 1500
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L’Ambassade de France à Alger, a décidé d’élever le nombre de dossiers à étudier pour l’obtention de visas « Schengen » à 1500 rendez-vous par jour, et ce, pour rattraper le retard, dut à la grève enclenchée par le personnel de l’ambassade et les consulats français en Algérie, (Alger, Oran et Annaba). Alors qu’auparavant les consulats, n’accordaient que pas plus de 1100 rendez-vous par jour.

De sources fiables de l’ambassade France à Alger pour le quotidien Echourouk, ont déclaré que les employés de l’ambassade et les consulats ont mis fin à la grève, qui a débuté en mi-avril dernier, sans préciser si les revendications sont acquises ou pas, qui sont comme suit : l’augmentation des salaires et leurs conversion à l’euro, la démarcation de personnel contractuel et les non-bénéficiaires de la sécurité sociale, et d’améliorer les conditions de travail et la promotion des droits des femmes qui allaitent et d’autres exigences. L’ambassade française a rejeté les revendications principales, en particulier l’augmentation des salaires en Euro, arguant dans ce cas là, qu’il viole la législation algérienne.

Selon certaines sources du quotidien Echourouk, affirme que malgré la grève ouverte, les services consulaires ont étudié pas moins de 10 milles dossiers depuis le début de la grève, concentrée dans ce cas là aux cas à urgents qui concernent les malades. Après avoir gelé des milliers de dossiers relatifs aux visas et rendez-vous pris précédemment par les Algériens désirant se rendre en France ou l’un des pays de l’UE à la première semaine de Juillet prochain.

Les services du centre « T. L. S » étaient contraintes d’envoyer des ‘’SMS’’, aux demandeurs de visas les communiquant de reporter leur rendez-vous indéfiniment en raison de la grève. La grève a crée une large situation de grogne parmi les algériens demandeurs de visas, ce qui a causé à le retard pour régler leurs affaires, sachant que la France constitue le point de transit pour un bon nombre d’algériens vers le reste des pays européens.