.Les Arcs Film Festival donnent chaque année rendez-vous aux passionnés du cinéma pour célébrer la diversité et la créativité du cinéma européen. Pour sa 14e édition, Les Arcs Film Festival ont été organisés entre le 10 et le 17 décembre 2022, durant lesquelles plusieurs prix ont été octroyés.
En effet, comme de nombreux cinématographique, plusieurs professionnels du cinéma. Dont des acteurs, des réalisateurs et réalisation ont été récompensées lors des Arcs Film Festival. Et ce, par le biais de plusieurs prix dont : la Flèche du Cristal, le Grand prix du jury, la meilleure photographie, le prix du jury jeune …
Par ailleurs, parmi les nombreuses personnes récompensées lors de cet événement, figure une réalisatrice d’origine algérienne.
L’Algérienne Mounia Meddour reçoit le prix « Femme de cinéma » aux Arcs Film Festival 2022
Réalisatrice de « Papicha » et de « Houria », qui sortira le mois de mars 2023. La cinéaste algérienne, Mounia Meddour a reçu le prix de la « Femme du cinéma » aux Arcs Film Festival. Le prix, remis par Philippe Ornano, président de Sisley, lui a été attribué pour son nouveau film « Houria ».
Pour cette Algérienne, âgée de 44 ans, « être réalisatrice est un combat de tous les jours ». En effet, cette dernière est venue aux Arcs Film Festival, pour présenter, en avant-première, son film « Houria ». En recevant son prix, Mounia Meddour a fait part de sa fierté. Notamment, en montrant, aux jeunes femmes, qu’être réalisatrice est difficile, mais pas impossible. »Chaque étape est surmontable : la clé est la persévérance » a-t-elle déclarée, rapporte Le parisien.
La réalisatrice de « Papicha » a fait également savoir que son nouveau film « Houria », s’inscrit dans la thématique de ce Prix. Qui met en honneur des femmes héroïnes. Pour donner l’exemple de ces dernières, Mounia Meddour cite les Iraniennes qui mènent leur combat, chaque jour, dans les rues.
Par ailleurs, Mounia Medour ne compte pas s’arrêter aux succès que connaissent ces deux films. Pour son prochain long métrage, elle souhaite explorer la question algérienne, notamment celle des années 1970. Et ce, en racontant l’histoire et le vécu de ses parents. Mounia Medour veut raconter la rencontre de son père algérien avec sa mère d’origine russe.
#MouniaMeddour : "Être réalisatrice, c'est un combat de tous les jours"
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— VIDEOFUTUR (@Videofutur) December 12, 2022
