La demande de l’Algérie d’intégrer le Commonwealth est examinée lors du sommet de l’organisation qui se tient actuellement en Australie. Commonwealth of Nations est le nom depuis 1947, créé en 1835 au départ au Royaume-Uni, de l’association d’anciennes colonies ou protectorats de l’Empire britannique
Le nom de British Commonwealth of Nations est imaginé par Arthur Balfour lors de la Conférence impériale de 1926. Avec le Statute of Westminster de 1931, il devient le nom officiel de l’Empire britannique
Aujourd’hui encore le Commonwealth est dirigé par le souverain du Royaume-Uni. L’originalité du Commonwealth provient de son organisation : les pays membres sont unis par leurs intérêts communs, mais sont autonomes. Ils ne sont liés par aucun traité et peuvent rester neutres lorsqu’un conflit engage un ou plusieurs d’entre eux
Fin novembre 2009, le Commonwealth compte cinquante-quatre États membres, dont trois n’ont jamais relevé de la couronne britannique (le Mozambique, la Namibie et le Rwanda) et un autre seulement par mandat au Royaume-Uni de la SDN et de l’ONU sur une petite partie de son territoire (le Cameroun)
A préciser que les 16 pays membres du Commonwealth, réunis en sommet à Perth (sud-ouest de l’Australie), ont approuvé vendredi la modification des règles de succession au trône d’Angleterre, permettant de mettre fin à la primauté masculine pour l’accès à la couronne, a annoncé le même jour le Premier ministre britannique.
Ces changements permettront principalement au premier-né de William et Catherine de devenir monarque quel que soit son sexe et d’épouser un ou une catholique sans renoncer à la couronne comme le prévoyait une loi de 1701.