C’est ce qu’il ressort des conclusions d’un « sondage » de l’institut de prospective économique du monde méditerranéen IPEMED .
La famille Peugeot ,détentrice de 30% des capitaux de la firme éponyme n’en serait pas hostile à une telle acquisition ,selon le président de cet institut. La réponse reste donc ouverte pour un tel scenario pour l’arrivée de capitaux algériens publics qui constitueront un sauvetage pour ce constructeur en pleine crise, poussant le titre de sortir du CAC 40.
En l’absence de fonds souverains algériens, idée sévèrement combattue depuis des années par Ouyahia pour fructifier le placement des 186 milliards de dollars de réserves de change (juillet 2012) ,c’est le Fonds National d’Investissement FNI qui pourrait éventuellement prendre le relais pour concrétiser cette perspective. Elle donnera l’opportunité de réaliser un contrôle plus important qui permettra le transfert de technologie à l’Algérie et desserrer par la l’étau des conditions draconiennes imposées par le constructeur Renault dans sa phase finale de négociations pour le ramener à de meilleurs sentiments ou de le renvoyer dans ses foyers.
Renault,c’est l’idée des officiel algériens.De toutes les manières, Peugeot, la marque au lion a toujours été la voiture préférée des algériens.
Belkacem Bouteldja avait bien chanté : Khouya Lahwawi 3andou 404 ! C’était l’époque ou « bijou » pardon Peugeot avait bien la cote pour la puissance et la fiabilité de ses engins.