Le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel, a affirmé, samedi à Ouargla, que la stabilité que vit l’Algérie est le fruit des efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
OUARGLA – Le ministre de la Communication, Abdelkader Messahel, a affirmé, samedi à Ouargla, que la stabilité que vit l’Algérie est le fruit des efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
« La stabilité que vit l’Algérie n’est pas fortuite, elle est le fruit des efforts du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, à la faveur de la politique de la réconciliation nationale qui a restauré la quiétude et la paix à travers le territoire national », a souligné le ministre lors d’une conférence de presse, à l’issue d’une visite de travail dans cette wilaya.
« Le président de la République s’est engagé, à travers son programme, à concrétiser trois grands objectifs : la restauration de la paix et la remise en ordre de la Maison Algérie à travers de larges réformes, la concrétisation du développement global, et le retour de l’Algérie sur la scène internationale », a précisé M. Messahel, avant de souligner que « le citoyen algérien jouit aujourd’hui de ces acquis ».
Dans le même contexte, le ministre a mis en exergue la place recouvrée aujourd’hui par l’Algérie sur la scène internationale, la multitude des activités diplomatiques déployées, ainsi que le grand respect voué par les chefs d’Etat au président de la République, Abdelaziz Bouteflika.
Ce qui, a-t-il fait remarquer, confirme le fait que « l’Algérie a retrouvé sa bonne santé et devient une destination de toutes les Nations voulant bénéficier de l’expérience algérienne dans le domaine de la restauration de la paix et de la stabilité ».
M. Messahel a rappelé, à ce titre, « les énormes efforts déployés par l’Algérie pour sensibiliser sur les dangers du terrorisme, avant que le monde ne finisse par découvrir en 2001 la vision juste de l’Algérie à ce sujet ».
Le ministre a affirmé, par ailleurs, que « la voie de développement empruntée par l’Algérie, tous secteurs confondus, n’aurait pu se concrétiser sans la stabilité ».
« Le développement a besoin d’un environnement stable, chose qui ne peut se concrétiser sans la réconciliation nationale », a-t-il conclu.