La révolution de Lalla Fatma N’Soumer inspire un éditeur de jeux de société américain

La révolution de Lalla Fatma N’Soumer inspire un éditeur de jeux de société américain

L’Algérie, sa destination et son histoire inspire les créateurs du monde entier, dans plusieurs domaines : Mode, cuisine, mais aussi jeux. En effet, un éditeur de jeux de société a décidé de s’inspirer de l’histoire de l’une des figures de la révolution algérienne pour lancer une nouveauté sur ce marché.

Créé par Matt Shoemaker et Roberta Taylor, »The Red Burnoose : Algeria 1857″ s’inspire de l’histoire de Lalla Fatma N’Soumer, symbole de la résistance féminine algérienne dans la lutte contre la colonisation française. Se présentant sous forme de jeu de société, cette création est déjà disponible sur le marché.

« The Red Burnoose : Algeria 1857 » : la révolution de Lala Fatma N’Soumer au cœur d’un jeu de société américain

« The red Burnoose : Algeria 1857″ se présente comme un jeu de guerre coopératif entre quatre joueurs. Son mode d’emploi est assez simple : le joueur doit faire progresser ses troupes de Lalla Fatma N’Soumer contre les forces coloniales et de contrôler les différents villages et personnages de ce jeu.

The Red Burnoose : Algeria 1857

The Red Burnoose : Algeria 1857

Pour réussir ce combat, les joueurs utilisent des dés, mais aussi des cartes de ce jeu, qui illustrent des villageois, des soldats, des villages de la Kabylie… Chaque joueur dispose de la possibilité d’en racheter, tout au cours de la partie, et ce grâce à un système de points.

Par ailleurs, il convient de préciser que deux Algériens ont participé à la réalisation de ce jeu. D’abord le professeur Karim Ouaras, comme étant un conseiller culturel et l’artiste Ahcene Blibek qui a réalisé le design de ce jeu. Sur le marché, « The Red Burnoose : Algeria 1857 » est proposé en deux langues, notamment en anglais et en allemand.


| À LIRE AUSSI :

>> USA : une ville de l’Iowa baptisée « Elkader » en l’honneur de l’Émir Abdelkader

>> Réalisation d’une imposante statue de l’Émir Abdelkader à Oran, ordonnée par Tebboune