La mise en place d’un cadre légal pour la lutte antiterrorisme constitue une « exigence » de l’Etat de droit et une « condition sina qua non » pour l’organisation de l’action des différentes institutions intervenant dans la lutte contre le terrorisme, a affirmé mercredi à Alger le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel.
« La mise en place d’un cadre légal pour la lutte antiterroriste constitue une exigence de l’Etat de droit et une condition sina qua non pour la structuration, l’organisation et l’harmonisation de l’action des différentes institutions intervenant dans la lutte contre le terrorisme », a souligné M. Messahel à l’ouverture des travaux de la réunion des experts sur le projet de loi type africaine sur la lutte contre le terrorisme.