Présent vendredi dernier au 1er-Novembre lors du JSK-FC Missile (3-0), l’ambassadeur du Gabon à Alger n’ignore rien de la culture kabyle. Mieux, il s’est dit fan de l’un de ses illustres écrivains, Mouloud Feraoun.
Son Excellence l’ambassadeur dit avoir «découvert» Feraoun, en CM 2 à la lecture de son célèbre «Le fils du pauvre». Ce magnifique roman, qui raconte la Kabylie en général et les péripéties de Fouroulou durant la période d’avant-guerre, a marqué Moussa Pambou-Makosso, qui a lu avec la même passion «La terre et le sang» et «Les chemins qui montent». Il dit s’être aussi intéressé aux œuvres de Mouloud Mammeri, mais pas avec la même passion qu’il nourrissait à celles de Feraoun. En tous les cas, son court passage à Tizi Ouzou lui a permis de s’imprégner de la culture kabyle dont il a découvert quelques objets traditionnels kabyles exposés à la réception de l’hôtel Lala Khedidja.
