La France a “souhaité” vendredi le respect des libertés fondamentales en Algérie, où les autorités semblent déterminées à empêcher toute contestation avant la présidentielle du 17 avril où se représente Abdelaziz Bouteflika, au pouvoir depuis 15 ans.
“Nous souhaitons le respect des libertés fondamentales en Algérie comme partout dans le monde”, a déclaré le porte-parole du Quai d’Orsay Romain Nadal, interrogé sur l’interdiction récente d’un rassemblement de chefs de partis appelant au boycott du scrutin et la fermeture d’une chaîne de télévision privée.
La présidentielle du 17 avril “est un scrutin important qui doit s’inscrire dans le cadre des institutions algériennes et dans le respect des principes démocratiques”, a-t-il ajouté.
