Réagissant à l’affaire opposant Rebrab au ministère de la Communication, la Fédération Internationales des Journalistes (FIJ) a tenu à réagir par la voie d’un communiqué de presse dénonçant « une escalade d’intimidations à l’encontre de la presse algérienne ».
« Nous sommes très inquiets de cette escalade d’intimidations menée à l’encontre des médias algériens et de leurs dirigeants qui témoigne d’une volonté de taire la critique et la liberté d’expression en Algérie. Nous nous interrogeons également sur les réelles motivations qui ont engendré la suspension de deux émissions critiques à l’encontre du monde politique. Nous exhortons le président Abdelaziz Bouteflika à protéger et renforcer la liberté de la presse en Algérie», a souligné Anthony Bellanger, secrétaire général de la FIJ. Il s’agit de la première réaction de la FIJ depuis le début de l’ »affaire KBC ».
L.B