Au cours de la conférence de presse qu’il a animée hier matin, le sélectionneur de l’équipe des USA, Bob Bradley, a déclaré que la FIFA avait décidé d’interdire aux deux sélections, algérienne et américaine, d’effectuer leur dernière séance d’entraînement sur le terrain principal du stade de Pretoria
Au cours de la conférence de presse qu’il a animée hier matin, le sélectionneur de l’équipe des USA, Bob Bradley, a déclaré que la FIFA avait décidé d’interdire aux deux sélections, algérienne et américaine, d’effectuer leur dernière séance d’entraînement sur le terrain principal du stade de Pretoria.
La raison qui a poussé les responsables de la plus haute instance footballistique mondiale à imposer cette décision est motivée par le souci d’éviter à la pelouse de subir des désagréments et de se détériorer avant même le début de la rencontre. Il faut savoir que des pluies diluviennes se sont abattues dernièrement sur la ville de Pretoria justement et cela a bien évidemment beaucoup affecté la pelouse. Les deux équipes vont devoir donc s’entraîner ailleurs et c’est la FIFA qui choisira les terrains.
La FAF n’a rien reçu
A l’issue de ladite conférence de presse de l’entraîneur américain, on a pris contact avec un responsable de la délégation algérienne pour savoir si oui ou non la FIFA les avaient informés de ce changement de dernière minute. Mais grande fut notre surprise lorsque ce dernier nous dira que jusqu’à l’heure actuelle (aux alentours de 16h de la journée d’hier), aucune correspondance ne leur avait été envoyée par la FIFA concernant le changement du terrain d’entraînement.
La décision ne pose pas problème, puisque celle-ci concerne les deux sélections
Au même moment, un responsable du Bureau fédéral nous a affirmés que cette décision de la FIFA ne pose pas vraiment problème à l’EN, du moment que celle-ci concerne aussi l’équipe des Etats-Unis et que cette décision a aussi concerné précédemment d’autres formations participantes à ce Mondial.