La FAF exigera de Gourcuff d’engager un autre adjoint

La FAF exigera  de Gourcuff d’engager un autre adjoint

algerie-foot-gourcuff-afrique.jpgComme nous l’avions indiqué dans nos précédentes livraisons, Christian Gourcuff rencontrera Mohamed Raouraoua afin d’évoquer son avenir à la tête de l’EN. Pour l’instant, il n’y a rien de concret mais selon une source crédible au niveau de la FAF et dans le cas où le technicien français restera à la tête de l’EN, le président de la FAF exigera le renfort du staff technique par un autre adjoint, pour aider Nabil Neghiz. Les responsables de la FAF ont constaté que la composante du staff technique de l’EN n’est pas convaincante et vont exiger le renfort du staff technique. Tout cela reste au conditionnel dans la mesure où tout sera lié au tête-à tête Gourcuff-Raouraoua.

Il doit être proche des joueurs

Le nouvel assistant aura comme tâche d’être prêt du groupe et le gérer comme il se doit pour éviter qu’il y ait de faux problèmes, sachant surtout que ce sont les problèmes qui ont déstabilisé le groupe à l’intérieur. Alors qu’il n’y a plus de leader dans cette équipe, depuis l’annonce de la retraite internationale des deux capitaines, Madjid Bougherra et Medhi Lacen, Raouraoua songe sérieusement à engager un assistant qui doit être près des joueurs, pour les gérer.

Mansouri manque d’expérience

Selon une source bien informée, Mohamed Raouraoua et ses collaborateurs ne sont guère satisfaits du rôle de Yazid Mansouri. Ce dernier qui se donne à fond dans sa fonction d’entraîneur adjoint et en même temps de manager général de l’EN, n’est pas très proche des joueurs de la sélection, comme le veulent les responsables de la FAF. Sans doute que son manque d’expérience le dessert et donc ce dernier devrait garder son statut d’assistant, mais sans plus.

Raouraoua ne veut pas refaire l’erreur commise avec Halilhodzic

La même source indique que Mohamed Raouraoua ne veut pas refaire la même erreur commise lors du passage de Vahid Halilhodzic. Le président de la FAF s’était rendu compte en retard qu’il fallait engager un assistant, surtout après la débâcle de la CAN 2013 en Afrique du Sud. Cette fois-ci, une restructuration de la composante du staff de l’EN est plus que nécessaire pour éviter les erreurs du passé.