ALGER – Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé mardi à Alger que la question de dissolution du parlement ne figurait pas dans l’agenda du gouvernement ajoutant que cette question relevait des prérogatives du président de la République conformément à la Constitution.
Après avoir répondu aux questions des membres du Conseil de la nation sur le plan d’action du gouvernement, M. Sellal a déclaré lors d’un point de presse que la dissolution du parlement à laquelle ont appelé certains partis politiques « n’a jusqu’à présent pas été inscrite dans l’agenda du gouvernement », ajoutant « nous n’avons pas réellement évoqué cette question qui relève des prérogatives du président de la République, Abdelaziz Bouteflika conformément à la Constitution ».
« Le renforcement et l’élargissement des prérogatives du parlement avec ses deux chambres » figurent parmi les propositions que le projet de Constitution soumis actuellement aux partis et personnalités nationales, pour débat et enrichissement, renferme, a-t-il ajouté.