La Cour d’Alger, examinera, demain mercredi, la demande de remise en liberté de Karim Tabbou, coordinateur du parti (non-agréé) Union démocratique et sociale (UDS).
Karim Tabbou avait été interpellé le 11 septembre dernier devant son domicile. Puis il a été placé sous mandat de dépôt le lendemain par le juge d’instruction près le tribunal de Koléa (Tipaza) pour « atteinte au moral des troupe de l’Armée nationale populaire (ANP) ».
Libéré deux semaines après sa première arrestation, la figure de proue du Hirak a été arrêté, 24h après sa libération, jeudi dernier, par les services de sécurité devant son domicile à Alger. Pour être placé de nouveau en détention provisoire à la prison de Koléa.