La chanteuse marocaine  Asma Lmnawar refuse de se produire en Algérie

La chanteuse marocaine  Asma Lmnawar refuse de se produire en Algérie

Par le biais de son passage dans l’émission « Marahel » diffusée sur la chaîne SBC Chanel, la chanteuse marocaine Asma Lmnawar a répondu à une question posée par l’animateur du programme concernant la possibilité de visiter l’Algérie.  En effet, l’animateur de l’émission a posé plusieurs questions à son invitée. De sa part, la chanteuse marocaine Asma Lmnawar, n’a pas hésité à répondre aux interrogations de son hôte. 

Notamment sur la possibilité de sa visite en Algérie pour y donner un concert. De ce fait, la principale concernée a déclaré qu’elle ne prévoit pas de visiter l’Algérie ou encore de programmer un concert dans ce pays pour le moment. D’ailleurs, l’artiste a donné plus de détails à cet égard. Elle a expliqué qu’elle ne pourra pas se rendre en Algérie pour le moment en raison des différends entre les deux pays.

Asma Lmnawar évoque les tentatives de réconciliation 

Par le biais de la même émission, Asma Lmnawar a évoqué les tentatives de réconciliation initiées par le roi du Maroc et le peuple marocain envers l’Algérie. Vous n’êtes pas sans savoir que ces initiatives ont été catégoriquement rejetées par la partie algérienne. 

Très remontée, Asma Lmnawar a, de ce fait, qualifié ce refus de “dénué de sens ». Dans ce sens, il convient de rappeler que l’Algérie et le Maroc vivent une crise diplomatique aiguë. Et ce,  depuis plusieurs années en raison du différend autour du Sahara occidental. Effectivement ces divergences ont entraîné une rupture diplomatique entre les deux pays. 

On notera également que Asma Lmnawar a récemment suscité une grande controverse avec le lancement se son clip « Sid Al Gharam » qu’elle a diffusé en featuring de l’artiste syrienne Assala Nasri. Les Algériens ont considéré que la présence de  » khit errouh » dans un clip interprété en marocain était visiblement une atteinte au patrimoine culturel algérien, car « khit errouh » est considéré comme un accessoire traditionnel algérien.