Kourichi : «L’Algérie a besoin d’un staff de qualité»

Kourichi : «L’Algérie a besoin d’un staff de qualité»
kourichi-lalgerie-a-besoin-dun-staff-de-qualite.jpg

Cela passe par un staff de qualité et un entourage propre au football et au footballeur.

Noredine Kourichi refuse de trop commenter cette décision prise par le président de la FAF, mais il affirme que l’Algérie a besoin de grandir et que cet effectif algérien, qui manque d’ambition, doit apprendre avec des gens autrement plus compétents à devenir performants.

Cela passe par un staff de qualité et un entourage propre au football et au footballeur. Comme tout le monde, il s’interroge sur la mise à l’écart des anciens joueurs qui auraient pu apporter cette expérience qui fait cruellement défaut à notre jeune sélection.

«C’est un choix qu’il faudra respecter. Il y a des responsables qui ont décidé ainsi et je crois qu’ils sont les mieux placés pour vous donner de plus amples informations sur les raisons de ce choix.

LG Algérie

Pour ma part, je n’ai qu’une chose à dire : j’aurais souhaité, comme le reste de mes ex-coéquipiers d’ailleurs, servir mon pays en intégrant le staff actuel que je ne trouve pas assez riche. J’estime en toute franchise que l’Algérie a besoin d’un staff de qualité pour rendre encore cette équipe plus performante à l’avenir.»

«Espérons qu’on ne regrettera pas cette décision»

Pressenti pour intégrer le staff des Verts, Kourichi avance que Raouraoua est le maître à bord et ses décisions sont toujours prises dans l’intérêt de l’Equipe nationale. Seulement, il se déclare déçu de constater que les anciens restent toujours à l’écart.

«Il est clair qu’on aurait préféré avoir du sang neuf dans ce staff technique pour donner plus de chance à l’Equipe nationale à l’avenir. Vous savez, comme je l’ai déjà déclaré, on a un effectif assez équilibré qui a besoin de perfectionner son jeu sur certains aspects. Moi personnellement, j’étais prêt à contribuer au redressement mais apparemment, on a déjà fait le choix. Franchement, je suis déçu de ne pas pouvoir aider l’Algérie. Les compétences existent, mais malheureusement, on a l’impression que les portes restent toujours fermées. Espérons qu’on ne regrettera pas cette décision.»