Abdelkrim Serrar s’est levé hier matin sur un SMS de Mahfoud Kerbadj qui lui annonçait l’annulation – encore une fois – de la finale de la Supercoupe de l’UNAF, prévue dans un premier temps pour samedi 18 février. Le président de la LFP n’a pas jugé utile d’appeler le président de l’ESS pour l’en informer de vive voix. Pour lui, un simple SMS suffit. Or, la justesse du message a suscité une certaine confusion chez les dirigeants ententistes qui ne savaient pas trop s’il est question d’un simple report ou d’une annulation définitive. Finalement, Mahfoud Kerbadj a dû appeler.
Bracci ira se ressourcer à Tipaza
François Bracci n’est pas près de rentrer chez lui. Débarqué du MCA en début de semaine, le désormais ex-entraîneur mouloudéen compte bien rester encore quelques jours en Algérie. Que Omar Ghrib se rassure, il ne viendra pas le faire ch…avec l’histoire des trois mois de salaire que le club lui doit encore, puisque le technicien français a choisi de se la couler douce à Tipaza. Un endroit qui lui rappelle, a priori, son Ile de Beauté, à lui, d’où cette envie d’aller s’y ressourcer. Après quoi, il pourra revenir à la charge.
Limoger Bracci, c’est un pêché

Omar Ghrib s’est vraiment gouré en limogeant François Bracci. Un entraîneur comme on en trouve plus de nos jours. Ce n’est pas que le technicien soit un crack en ce genre, loin s’en faut, mais quel est le président qui dirait non à un entraîneur qui ne dit jamais non et qui plus est, bosse gratos. Si ! Si ! François Bracci n’a pas touché un sou depuis son retour au MCA. Et s’il demande aujourd’hui gentiment trois mois de salaire, ce n’est pas du tout pour jouer les va-t-en-guerre. C’est pour dire que Omar Ghrib a commis un pêché en le renvoyant. Il faudrait peut être qu’il engage Boualem Charef pour une semaine pour mesurer l’importance de Bracci.