On savait que ça allait être difficile pour les joueurs de la JSMB de se déplacer en Afrique en cette période, surtout en prenant deux vols de suite, avant d’atteindre leur destination. Ce que les dirigeants redoutaient a malheureusement eu lieu. Leur mésaventure a commencé à Casablanca, plus précisément à l’aéroport. Les joueurs ont dû attendre au moins cinq heures avant de prendreun ’autre vol à destination d’Accra. Fatigués et même si le chef de la délégation, Rachid Redjradj, a pu quand même leur réserver des tickets au restaurant de l’aéroport Mohamed-V, la plupart des joueurs n’ont pu manger à leur faim, car ils étaient très stressés. A ce moment-là, personne ne se doutait que la mésaventure venait tout juste de commencer. Début du calvaire.
Arrivée à Casa à 16h55
Après un peu plus d’une heure et demie de vol, les Béjaouis, qui ont quitté le sol algérien à 15h00, sont arrivés à 16h55 à l’aéroport Mohamed-V. A noter que le premier vol à destination Casablanca en provenance d’Alger dans l’après-midi s’est déroulé dans le calme, avant de galérer lors du second vol qui a mis tout le monde sur les nerfs.
La délégation a passé 5 heures au salon de transit
Avant de rallier Accra tard dans la soirée, la délégation béjaouie a dû attendre pas moins de cinq heures à l’aéroport Mohamed-V, pour une escale technique prévue par Royal Air Maroc, avant de se voir informés de la reprise du vol. Ainsi, afin de permettre aux joueurs de se reposer un peu, avant d’entamer un autre voyage vers la capitale ghanéenne, le chef de la délégation béjaoui, Rachid Redjradj, leur a proposé de passer leur temps au salon de transit de l’aéroport.
La plupart des joueurs se sont endormis
Une fois au salon de transit, les joueurs de la JSMB, qui étaient déjà très fatigués par le premier voyage en provenance d’Alger, ont profité de ce moment pour dormir sur les fauteuils du salon, alors que les autres, à l’image de Zeghili, Zerrara et Mebarakou, ont trouvé en leurs gadgets (smartphones, iPhone et autre iPads) le moyen de distraction le mieux indiqué pour passer le temps à Casablanca.
Reprise du vol à 23h05
C’est vers 23h 05 (heure marocaine et 00h 05 heure algérienne) que la délégation béjaouie a été informée par le commandant de bord de la reprise du vol vers la prochaine destination, l’aéroport international d’Accra qu’ils atteindront après plus de cinq heures. D’ailleurs, ayant pris connaissance de la durée du temps restant avant d’atteindre Accra, soit plus de cinq heures, par la voix de l’hôtesse de l’air, les béjaouis étaient, on ne peut plus affolés, lançant à l’adresse de l’hôtesse : «On a souhaité entendre moins car on a hâte de poser les pieds à Accra !»
Une autre escale à Lomé pour l’approvisionnement
en kérosène
Grande a été la surprise des membres de la délégation béjaouie, en apprenant qu’ils ne pouvaient pas rejoindre la capitale ghanéenne directement à partir de Casa, comme prévu. Et pour cause, l’avion de la compagnie Royale Air Maroc était contraint de prévoir une autre escale à Lomé, la capitale du Togo, afin de s’approvisionner en kérosène, à l’aéroport. L’opération a duré près d’une heure, avant que l’appareil reprenne son chemin
dans vers 4h 35.
5h05, les Béjaouis enfin à Accra
Six heures plus tard, les joueurs sont enfin arrivés à Accra dans des conditions difficiles. A leur arrivée, ils ont dû attendre aussi plus de 40mn à l’aéroport, avant de pouvoir prendre place dans le bus qui devait les transporter vers leur lieu d’hébergement. La fatigue se lisait sur les visages des joueurs qui ont découvert une nouvelle péripétie africaine aussi difficile que la précédente, le mois dernier, à Niamey. C’est au staff maintenant de les remettre dans le bain, avant la rencontre de dimanche contre l’équipe de l’Asante Kotoko.
Quatre heures avant d’atteindre la destination finale
Après en avoir terminé avec les formalités administratives des joueurs et des autres membres de la délégation, les quelques responsable du club ghanéen qui étaient à l’accueil ont décidé d’acheminer les Béjaouis à bord d’un bus, il faut le signaler, très luxueux, à destination de Kumasi où se déroulera la rencontre de ce dimanche. Il aura fallu donc plus de quatre heures de route avant d’atteindre cette ville qui se situe dans l’ouest du pays, à 300 kilomètres environ de la capitale, Accra.
Solinas : «Il nous faut récupérer d’abord !»
Interrogé sur les conditions d’hébergement et l’état mental de son groupe, à quelques encablures seulement du match contre l’Asante Kotoko, le coach italien de la JSMB, Gianni Solinas, nous a fait cette déclaration : «On s’attendait au pire. Finalement, je peux vous dire que dans l’ensemble, on est vraiment bien Installés. Après un voyage harassant, on axera notre travail sur la récupération et la remise en forme. Je pense que les joueurs seront en possession de leurs moyens. Cela dit, on doit oublier se concentrer totalement sur notre match. Une mission difficile nous attend, donc on doit faire preuve d’une grande volonté de réaliser un résultat positif.»
«Le cas Boussaha ? C’est à la direction de prendre une décision !»
Comme annoncé par nos soins dans notre édition d’hier, l’attaquant de la JSMB, Lakhdar Boussaha, n’a pas voulu se déplacer avec le groupe au Ghana. Souffrant d’une blessure aux adducteurs, le coach Solinas comptait au moins sur lui, afin de compléter la liste des dix-huit. Finalement, le joueur a préféré rester à Bejaïa. «Boussaha ? Franchement, je préfère ne rien dire pour le moment. Ce n’est pas à moi de prendre une décision, du fait que cette affaire sera traitée par la direction. Je dois par contre concentrer sur mon travail avec les joueurs qui sont venus, pas avec ceux qui sont restés chez eux.»
«Je ne badine pas avec la discipline et chaque joueur doit se comporter de manière responsable»
Toujours dans ce même contexte, Gianni Solinas avouera qu’il n’acceptera jamais des comportements irresponsables qui pourraient nuire à la sérénité de l’équipe : «Pour être sincère avec vous, je n’aime pas les joueurs qui se comportent de manière irresponsable. Je travaillerai donc avec un esprit de professionnel, c’est-à-dire avec fermeté et rigueur. Je serai très sévère avec tout joueur ne respectant pas le règlement intérieur. Je ne suis pas là pour écarter x ou y, mais il reste que les joueurs doivent faire preuve d’une certaine discipline au sein du groupe. J’ai besoin de joueurs compétitifs qui se sacrifient pour leur équipe.»
«Même avec 17 joueurs seulement, je reste confiant»
Pour ce rendez-vous africain face à l’Asante Kotoko qui se jouera dimanche prochain sur la pelouse du stade Baba- Yara, le coach Solinas, qui n’a pas vraiment beaucoup de solutions, à cause de plusieurs défections, n’a retenu que 17 joueurs, dont trois gardiens de but. C’est dire que la JSMB se présentera avec 15 joueurs de champ seulement, ce dimanche : «On n’a pas le choix. On doit donc faire avec ces absences. Certes, ce sera encore plus compliqué, mais je reste optimiste. J’ai retenu les joueurs aptes à jouer et j’espère que nous serons à la hauteur face aux Ghanéens.»
«Au lieu de chercher des excuses, on doit plutôt trouver des solutions»
Solinas pense qu’au lieu de parler des défections à chaque fois et essayer de se cacher derrière de faux prétextes, il vaudrait mieux trouver des solutions, même avec un effectif amoindri. «Pour que les choses soient claires. Les défections sont une chose très normale qui arrive dans le monde de football. Au lieu de se cacher derrière des excuses, on doit plutôt essayer de trouver des solutions pour battre l’Asante, ce dimanche. Il ne sert à rien de pleurnicher, on doit retrousser les manches pour préparer un vrai commando capable d’honorer les couleurs du club et celles du pays.»
Pressenti pour remplacer Mebarki en attaque
Aourès : «Je suis prêt à prendre ma place ce dimanche»
Tout d’abord, comment s’est déroulé votre voyage ?
Il est vrai que nous sommes fatigués, après avoir effectué ce long voyage, avant d’arriver au Ghana. Mais le coach compte programmer une séance de décrassage, afin de nous permettre de mieux récupérer. Je ne pense pas que cela va constituer un problème. D’ici à demain, on pourra retrouver notre forme (entretien réalisé hier, ndlr).
Pensez-vous pouvoir récupérer, avant le jour du match ?
Oui, je pense que nous avons assez de temps pour récupérer de long et harassant voyage qui nous a vraiment fatigués. C’est d’ailleurs l’une des raisons qui a poussé la direction à décider de se déplacer cinq jours avant ce match. Ce sera un peu délicat surtout avec la chaleur mais on n’a pas le choix, on doit se concentrer sur notre travail maintenant.
A moins de quatre jours, comment appréhendez-vous ce match retour face à l’Asante ?
Ecoutez, il est vrai que la partie sera très disputée et très difficile pour les deux formations, surtout pour nous, après notre match nul à domicile, à l’aller. De notre côté, nous allons faire de notre mieux pour honorer convenablement le football algérien en essayant de renverser la vapeur ici à Kumasi. On n’a vraiment plus à rien à perdre ici, on doit jouer le tout pour le tout pour espérer gagner ce match.
Dans des rencontres pareilles, ne trouvez-vous pas que l’aspect psychologique joue un très grand rôle ?
Effectivement, le plus important pour les joueurs lors des rencontres de ce niveau, c’est l’aspect psychologique. D’ailleurs, le coach a beaucoup insisté là-dessus lors des séances d’entraînement car les supporters et les joueurs vont exercer sur nous une très forte pression pour nous perturber et permettre à leur équipe de remporter cette rencontre. Comme je viens de vous le dire, nous sommes conscients de ce qui nous attend. Nous essayerons de gérer la partie convenablement.
A votre avis, quel serait le meilleur scénario ?
Que puis-je vous répondre, sinon que le mieux pour nous c’est de ne pas encaisser de but et surtout de marquer au moins un but. En tout cas nous jouerons pour la gagne car c’est la seule et unique façon de se qualifier. L’essentiel est qu’il ne faut pas se mettre en tête que nous allons affronter une équipe chez elle et sur son terrain. Il faut que tous les joueurs gardent leur sang-froid sur le terrain pour essayer d’imposer notre jeu.
Cela veut dire que vous allez vous contenter de défendre ?
Non, nous sommes venus à Kumasi pour gagner et se qualifier et non pas pour subir le match. Nous allons jouer normalement, mais avec beaucoup de prudence. Toutefois nous allons profiter de la moindre occasion qui se présentera à nous pour mettre en danger cette jeune équipe qui pratique un bon football.
Vous avez joué avec cette équipe, maintenant vous avez une idée sur votre adversaire, non ?
Effectivement. Le staff technique a bien analysé le jeu de l’adversaire lors du match aller qui s’est déroulé au stade de l’Unité-Maghrébine. Ainsi il peut mettre au point une stratégie qui correspond à la situation du jour.
En l’absence de Mebarki, suspendu, vous êtes le mieux indiqué pour épauler Derrag en attaque, êtes-vous prêt ?
Bien que je ne joue pas régulièrement en championnat, je me donne à fond aux entraînements, ce qui m’a permis de rester compétitif. Donc, si mon club aura besoin de moi face à l’Asante Kotoko, ce dimanche, je saurai donner ce qu’on attend de moi sur le terrain.
Un mot pour conclure ?
Je rassure nos supporters que nous sommes ici pour revenir avec un bon résultat lors de ce match retour et se qualifier au prochain tour. On est décidés plus que jamais à atteindre cet objectif. Ce ne sera pas facile, certes, mais ce n’est qu’en faisant des calculs qu’on va faire un bon résultat. Donc, on doit faire des sacrifices pour honorer nos engagements envers notre club.
Alors qu’ils nourrissaient des appréhensions…
Les joueurs satisfaits de l’hébergement
Après la grande mésaventure vécue durant le voyage harassant qui aura duré presque une toute journée, les joueurs étaient très soucieux par rapport aux conditions d’hébergement. Après près de 4 heures de route, les Béjaouis sont arrivés à l’hôtel Anita situé au cœur de la ville de Kumasi qui se caractérise par son calme. Après avoir fait le tour des chambres, les joueurs en étaient satisfaits et soulagés à la fois de ne pas avoir vécu aussi la mésaventure du dernier déplacement à Niamey, pour affronter l’OFC. D’ailleurs, les joueurs béjaouis ont pris leur douche, avant de plonger dans un sommeil profond. A leur réveil, vers les coups de 16h, nous nous sommes entretenus avec certains d’entre eux, à l’image de Mebarakou qui nous a confirmé que le lieu d’hébergement est la seule satisfaction jusque-là. Heureusement d’ailleurs, ce qui leur permettra au moins de récupérer du voyage.
Ils sont logés dans des chambres doubles
Tout comme lors du dernier déplacement au Niger, on a opté pour des chambres doubles. A l’intérieur, tout a été mis à leur disposition, même la climatisation qui est indispensable en Afrique. Un confort adéquat pour les joueurs qui n’ont pas eu à se plaindre. De son côté, le chef de la délégation s’est dit satisfait des conditions d’hébergement et de l’accueil réservé. Toutefois, il est utile de signaler que les membres du staff technique ont pris des chambres singles.
Le staff médical s’est réuni avec le chef cuisinier
Une fois à l’hôtel et avant que le premier repas ne soit servi aux joueurs, les docteurs Khaled Stambouli et Hakim Mansouri, qui forment tous les deux le staff médical de la JSMB, sont allés voir le responsable de la restauration, afin de demander un repas spécial aux joueurs. Ainsi, les camarades de Brahim Zafour devraient bénéficier aussi d’un repas sportif. Au menu, du poulet, du poisson, de la viande rouge, des salades et des pâtes.
Le Wifi disponible dans les chambres des joueurs
La première chose que certains joueurs ont demandée à leur arrivée à l’hôtel, c’est de savoir s’il y avait une connexion Wifi. Il faudrait dire que l’internet est pratiquement la seule occupation des joueurs, en dehors des séances d’entraînement. L’occasion pour eux de rester en contact avec leurs proches, avant leur retour au pays.
Solinas et Hamouche ont inspecté le stade annexe
Sitôt arrivés à l’hôtel, le coach Solinas et son adjoint Hacène Hamouche n’ont pas hésité à demander au chauffeur mis à leur disposition par les responsables de l’Asante Kotoko de les conduire au stade annexe de Baba-Yara où devait s’effectuer la première séance d’hier. Au retour, Hamouche nous a fait savoir que la pelouse n’était pas de bonne qualité. Il est utile de dire que le stade se situe à 2 kilomètres seulement de l’hôtel Anita.
Redjradj interviewé par la chaîne E-TV du Ghana
A peine la JSMB a-t-elle atterri au Ghana que nombreux étaient les médias à se présenter dans le hall de l’aéroport pour assurer une large couverture médiatique de l’arrivée de la JSMB à Accra. Le plus sollicité parmi la délégation béjaouie est naturellement le directeur général, Rachid Redjradj, chef de délégation, très connu en Afrique. L’homme en question a aimablement livré ses premières impressions à la chaîne de télévision E-TV du Ghana qu’il l’a longuement interviewé.
«Nous sommes satisfaits de l’accueil»
D’emblée, Rachid Redjradj a tenu à exprimer sa satisfaction totale concernant les conditions dans lesquelles son équipe a été mise à Accra en affirmant : «Je dois avouer que cet accueil nous a fait oublier les longues heures que nous avons passées à bord de l’avion qui nous a transportés d’Algérie. En ma qualité de directeur général de cette équipe et chef de délégation aussi, je tiens à remercier les responsables de l’Asante et notre ambassadeur ici au Ghana.»
«Nous sommes venus pour la qualif’»
Evoquant le match de dimanche prochain, Redjradj ajoutera : «C’est un match difficile qui attend les deux équipes. Il ne faut pas baisser la concentration. J’espère que nos joueurs sauront récupérer au plus vite de la fatigue du voyage et reprendre les entraînements. Nous n’avons pas fait tout ce déplacement pour faire de la figuration, au contraire nous sommes ici pour réaliser un résultat probant qui va nous assurer la qualification au prochain tour.»
Les joueurs n’ont pas pu suivre les matchs de la Champions League
Présents à l’aéroport Mohammed-V, les joueurs de la JSMB n’ont pas pu suivre les deux rencontres d’avant-hier de la Ligue des champions européenne, Barca-Paris Saint-Germain et Bayern-Juventus. Les camarades de Derrag étaient vraiment très déçus d’avoir raté ces deux affiches.
Ils étaient très contents d’apprendre la qualification de l’USMA
Les Béjaouis, qui se trouvaient à Casablanca au moment où l’USMA jouait son match retour face à Al Ismaïly d’Egypte, n’ont pas arrêté de demander le résultat du match. C’est Derrag qui a pu avoir l’information au bout du fil de la part d’un proche. Les joueurs de la JSMB étaient très contents de la qualification des Usmistes. Une nouvelle qui a boosté encore Zafour et ses coéquipiers qui ont réalisé le même résultat que les camarades de Zemma lors du match aller face à l’Asante Kotoko (0-0).
L’ambassadeur et des dirigeants de l’Asante à l’accueil
Comme cela se fait dans la plupart des déplacements à l’étranger, les membres de la délégation béjaouie ont été accueillis par des responsables du club ghanéen qui ont tenu à faciliter la tâche aux Béjaouis. En plus, il est à signaler la présence de l’ambassadeur d’Algérie à Accra, Larbi Katti, à l’aéroport, en compagnie d’un attaché de l’ambassade. Il nous a fait savoir qu’il se déplacera aujourd’hui à Kumasi pour prendre des nouvelles de la délégation algérienne. A noter aussi que l’ambassadeur est natif de Timezrit à Béjaïa.
40 minutes pour les formalités administratives
A leur arrivée à l’aéroport d’Accra, les membres de la délégation béjaouie ont passé environ une trentaine de minutes au niveau de la PAF afin de régler toutes les formalités administratives. Les responsables du club ghanéen et le représentant de l’ambassadeur étaient eux aussi présents pour leur faciliter la tâche.
Des photos souvenir dans… l’avion
Une fois embarqué dans l’avion, un membre de l’équipage a tenu à prendre en photo les joueurs de la JSMB, avant de leur souhaiter bonne chance pour leur match face à l’Asante Kotoko, dimanche prochain à 14h sur la pelouse stade de Baba-Yara.
Décrassage hier à 18h
Pour poursuivre sa préparation pour le match de demain contre l’Asante Kotoko prévu ce dimanche à Kumasi, le staff technique de la JSMB a programmé une première séance du travail hier dans la soirée à 18h après avoir accordé aux joueurs quelques heures de repos. Il est utile donc à signaler que Solinas n’a pas programmé grand-chose lors de cette première séance. Il a basé son travail sur la remise en forme de ses joueurs et le travail psychologique.
26° à l’arrivée et 35° hier dans la journée
Le climat à Kumasi n’est pas aussi clément que lors de la dernière sortie de la JSMB au Niger. Quelques minutes avant l’atterrissage à l’aéroport international d’Accra, l’hôtesse a annoncé que la température était de 26° dans la capitale d’Accra à 5h du matin. La température a atteint les 35° dans la journée. Toutefois il faut dire qu’il y a un taux d’humidité très élevé au Ghana, contrairement au dernier déplacement de l’équipe à Niamey où le climat était chaud mais sec.