Après plusieurs entraîneurs proposés durant des semaines, tout porte à croire que la JSK tient son nouvel entraîneur pour la prochaine saison. Comme annoncé en exclusivité par nos soins, le choix s’est porté sur l’ex-entraîneur nîmois, Thierry Froger. Pas plus tard qu’avant-hier, les responsables kabyles ont pris attache avec lui pour connaître ses intentions à l’idée de venir travailler en Algérie pour la première fois. D’après la même source, le technicien français n’y a vu aucun inconvénient. Après avoir tenté une expérience d’une année à la tête de la sélection togolaise, Thierry Froger s’est montré très intéressé de prendre en main le staff technique de la JSK. Ce n’est qu’après ce premier contact que les choses sérieuses ont commencé entre le technicien français et le président Mohand-Cherif Hannachi. D’après une source très proche du premier responsable du club, Froger sera à 90 % le nouvel entraîneur de la JSK.
L’accession avec Nîmes, sa dernière performance
Parmi les performances qui ont attiré l’attention des responsables du club kabyle, l’accession en Ligue 2 que vient de réaliser Froger à la tête du club nîmois. Froger, qui a déjà eu Zarabi sous sa coupe il y a 2 ans, a réalisé 2 saisons à la tête de Nîmes avant d’être remercié le mois dernier. Aux yeux de Hannachi, Froger répond parfaitement au profil de l’entraîneur recherché par le club, que ce soit en matière de compétence, que sur le plan financier. En effet, un entraîneur de national, voire de Ligue 2, est à la portée de la JSK, du moment que son salaire ne dépassera pas la barre des 10 000 euros par mois.
Hannachi aujourd’hui en France pour le rencontrer
Décidément, les responsables kabyles, à leur tête Hannachi, voudraient passer à la vitesse supérieure pour conclure avec le technicien en question. A ce sujet, nous avons appris que Hannachi se déplacera, aujourd’hui en France, pour entamer le dernier virage des négociations avec le technicien français. En gros, il évoquera avec son interlocuteur les objectifs de la JSK et le projet que compte mettre le club en place dans les prochaines années. Il est clair que le coach français voudrait connaître davantage sur le challenge qui lui sera proposé, même si nul doute que le titre de champion sera l’un des objectifs majeurs des Kabyles.
Il ne reste que quelques détails à régler
Une fois le projet dévoilé, Hannachi évoquera l’aspect financier avec le technicien en question. A ce sujet, nous avons appris que le boss kabyle a déjà fait une offre à Froger, mais ce dernier n’a toujours pas rendu de réponse. Les deux hommes auront l’occasion de reparler de tout cela en tête-à-tête dès aujourd’hui, au plus tard demain. Ce paramètre sera même déterminant avant la signature du contrat. Dans le cas où l’offre de la JSK intéresserait Froger, tout sera plus clair par la suite.
Il est fort probable qu’il signe son nouveau contrat
En effectuant ce voyage en France, Hannachi ne compte nullement revenir les mains vides. Il a déclaré à ses proches qu’il souhaite régler définitivement la question du futur entraîneur. C’est la raison pour laquelle certains proches du premier responsable du club sont persuadés qu’en cas d’accord, Froger signera son nouveau contrat, avant d’entamer son travail le 1er juillet prochain à Tizi Ouzou.
Un joueur franco-algérien sera proposé à Hannachi
Profitant de sa présence en France, Hannachi aura l’occasion de superviser un attaquant franco-algérien. C’est un manager qui aurait proposé le joueur à la direction kabyle il y a moins d’une semaine. Hannachi se fera une meilleure idée sur le joueur en question une fois sur place. En plus de celui de l’entraîneur, un autre tête-à-tête entre Hannachi et le manager du joueur en question n’est pas à écarter.
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Slimani veut jouer à la JSK
A la recherche d’un attaquant de pointe, la JSK est toujours sur les traces du buteur du CRB, Slimani. Après plusieurs contacts, les responsables kabyles n’ont pas réussi à conclure avec lui. Et pour cause, le joueur, qui se trouve en stage avec la sélection, veut se concentrer sur sa mission avec les Verts avant de penser à son avenir, d’autant plus que le but qu’il a marqué face au Rwanda l’a mis davantage en confiance. Slimani a, donc, décidé de ne pas évoquer son avenir avant le 16 juin prochain. Toutefois, et d’après certaines indiscrétions, Slimani a déjà son idée sur sa prochaine destination. D’après les proches du joueur, l’actuel attaquant du CRB voudrait porter le maillot de la JSK la saison prochaine. Il s’est dit avoir la tête sur les épaules, malgré les nombreuses offres qu’il a reçues. Slimani reste pour le moment persuadé que le club kabyle pourra redonner une autre dimension à sa carrière, lui qui est sur la lancée.
Il a exigé un appartement au CRB
Tout en acceptant l’idée de négocier avec la JSK, Slimani n’a pas fermé la porte aux dirigeants du CRB. Après un second tête-à-tête, avant-hier à Alger, le joueur n’a rien reçu de concret de la part des responsables du Chabab. En exigeant un appartement à Alger, Slimani n’a eu aucune réponse. D’après certains observateurs, dans le cas où les dirigeants du CRB n’arriveraient pas à satisfaire la demande de leur joueur, il est fort probable qu’il aille ailleurs. Pour le moment, c’est la JSK qui se trouve en pole position pour enrôler le joueur.
Voici pourquoi le joueur temporise
L’autre raison qui a poussé Slimani à temporiser est le contact qu’il a eu de l’Hexagone. Car, aux dernières nouvelles, certains clubs de Ligue 2 sont sur ses traces. Dans le cas d’un contact concret, Slimani n’hésitera pas à tenter une nouvelle expérience professionnelle. Dans le cas contraire, il opterait pour la JSK. Ce qui est certain, c’est que les dirigeants kabyles n’attendent que le moment idéal pour mettre le paquet et clôturer le recrutement avec un attaquant.
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L’énigmatique départ de Metref
Il y a plusieurs années, les supporters de la JSK rêvaient de voir dans leur effectif le milieu de terrain, Hocine Metref. Ce dernier, qui a été convoité plusieurs fois par le passé, n’a pas eu la chance de porter le maillot jaune et vert, jusqu’à l’an dernier. Les supporters ont mis de la pression sur le président kabyle pour bâtir une grande équipe, qui a réussi à les calmer en leur recrutant Hocine Metref, l’un des meilleurs joueurs de l’Entente. L’international, qui, lui aussi, voulait vivre une expérience avec le club kabyle, n’était pas à la hauteur des ses premiers matches avec la JSK. Avec un début très difficile où il a trouvé des difficultés d’intégration, Metref a fini par boycotter l’équipe plusieurs journées avant la fin de championnat. Les inconditionnels kabyles, qui attendaient beaucoup de lui, étaient très déçus par son rendement très moyen. La preuve, le joueur, qui a réussi à inscrire plus de 14 buts avec l’Entente toutes compétitions confondues, n’a pas inscrit la moindre réalisation avec la JSK. De l’avis de tous, Metref n’était pas trop motivé pour continuer son aventure avec la JSK. Toutefois, les incidents que le club a enregistrés dernièrement ont précipité son départ.
Hannachi ne connaît toujours pas la raison de son départ
Le premier responsable de la JSK, Mohand Chérif Hannachi, a évoqué le sujet de Hocine Metref. D’après lui, aucun dirigeant n’est au courant de la raison qui a poussé Hocine à se retirer et prendre des vacances avant même de la fin de la saison. Pourtant, Hannachi a précisé que le joueur n’avait aucun problème avec quiconque.
«On ignore les raisons du départ de Metref»
A propos du sujet de Hocine Metref, Hannachi dira : «Sincèrement, on ignore jusqu’à présent les raisons qui ont poussé Metref à quitter la JSK avant même la fin de la saison. Je suis persuadé qu’il n’a de problème avec personne, mais son départ reste inexpliqué jusqu’à présent.» Toutefois, le président kabyle a déclaré que Metref ne sera pas Canari la saison prochaine en disant : «Comment voulez-vous que Metref reste à la JSK alors qu’il nous a quittés de son propre gré depuis très longtemps. Il n’a pas été efficace avec nous.
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Mazari : «J’espère que la saison prochaine sera meilleure»
Après plusieurs jours d’attente, le président Hannachi a décidé de convoquer dans son bureau le gardien de but, Nabil Mazari, pour lui proposer de renouveler son contrat. Le concurrent de Malik Asselah, qui attendait ce rendez-vous depuis plusieurs jours, nous a révélé qu’un terrain d’entente a vite été trouvé. Toutefois, il n’a pas manqué de nous dire qu’il souhaiterait avoir plus de chances de jouer la saison prochaine.
Plus de deux semaines après la fin du championnat, vous avez enfin rencontré le président Hannachi n’est-ce pas?
Oui, après quelques jours de patience, j’ai enfin rencontré le président pour évoquer le sujet de mon avenir avec la JSK. Une fois qu’il m’a sollicité, je me suis rendu directement à son bureau pour en parler davantage.
Sincèrement, étiez-vous plutôt inquiet à propos de votre avenir pendant tout ce temps?
D’un côté oui. Je pense que c’est logique de s’inquiéter du moment que je ne savais pas qu’il m’attendait. Seulement, et je l’ai déjà déclaré, je suis un enfant du club et j’ai accepté de patienter encore plus car j’étais au courant que le président était préoccupé par le recrutement. De ce fait, j’ai attendu le plus normalement du monde mon tour.
Vous avez renouvelé un contrat de deux saisons avec la JSK. Avez-vous trouvé facilement un terrain d’entente avec Hannachi?
Je n’ai jamais eu de problème avec le président de ce côté-là. Sincèrement, à peine les négociations débutées, on a vite trouvé un terrain d’entente. Je suis très content de poursuivre mon aventure avec la JSK pour les deux prochaines saisons.
Quelles sont vos ambitions en prévision de la saison prochaine ?
J’espère tout d’abord que la saison prochaine sera meilleure que la présente où l’équipe retrouvera le bon chemin. Nous allons faire notre possible pour redresser la barre et jouer les premiers rôles. En ce qui me concerne, j’espère avoir plus de chances de jouer et de prouver que je mérite de porter le maillot de la JSK.
Ne craignez-vous pas la concurrence et vivre une autre saison identique à la précédente?
Non, la concurrence ne m’a jamais fait peur. L’essentiel c’est qu’elle soit loyale. Personnellement, je vais me donner à fond et travailler comme je l’ai toujours fait. C’est le plus important.
