Peut-on dire que la JSK est prête pour cette grande demi-finale ?
Après avoir bien travaillé durant deux semaines et vu l’ambiance au sein du groupe, je peux dire que nous sommes parfaitement bien préparés pour ce match. Il ne nous reste qu’à revoir certains points. Mais le plus gros a été fait. Nous sommes vraiment rentrés dans cette sphère de concentration extrême. Moralement, le match a déjà commencé.
Quelle est la priorité pour vous dans ce match ?
Tout d’abord, ne pas encaisser. Ensuite, on devra attaquer ne serait-ce que pour marquer le premier but. Cela les mettra en difficulté et en manque de confiance surtout. Nous sommes déterminés à sortir un grand match et offrir à l’Algérie cette qualification en finale.
Deux buts de retard au score ne constituent-ils pas une pression supplémentaire ?
La pression est permanente, surtout lorsqu’il s’agit d’un match d’un grand niveau comme celui de samedi. Mais vu le match aller où nous avions raté sept occasions en 30 minutes, nous sommes capables de marquer plus de deux buts. Il faut seulement y croire.
Dans le cas où Belkalem déclarerait forfait, vous serez aligné sur le côté droit. Etes-vous prêt à débuter la partie ?
Pour tout vous dire, je ne me focalise pas sur la disponibilité de Belkalem. Je m’entraîne afin de jouer ce match. Pour le reste, c’est au staff d’en décider. C’est l’intérêt du collectif qui prime. Je souhaite que le staff technique puisse avoir l’ensemble des joueurs à sa disposition, car nous avons besoin de tout le monde dans un match pareil. Ce qui compte, à mes yeux, c’est la qualification.
On s’attend à une affluence record samedi. Est-ce que vous imaginez l’ambiance au stade ?
Oh que oui ! Déjà, je pense au match face à Al Ismaily et Al Ahly lorsque le stade de Tizi Ouzou était plein à craquer. C’est magnifique de renouer avec cette ambiance, car notre public constituera une source de motivation pour surmonter cette équipe du TP Mazembe. Je souhaite qu’on ne déçoive pas nos millions de fans.
