JSK : Boukhari démissionne !

JSK : Boukhari démissionne !

Chalali : «J’avais fait des concessions en signant l’hiver dernier, j’attends le retour d’ascenseur.» Tedjar persona non grata aux yeux des supporters. Laïb : «A 90 % Belkaroui restera à El Harrach.»

Comme nous l’avions rapporté dans notre édition d’hier, une frange de supporters pas du tout satisfaits du recrutement estival opéré jusque-là par la JSK, sachant que deux joueurs seulement, Chibane et Madi, ont paraphé leur contrat, ont fait le déplacement lundi après-midi au siège du club. Sur place, les supporters, que le président de la SSPA/JSK, Moh Cherif Hannachi a refusé de recevoir, ont pris à partie le secrétaire de section, Saïd Boukhari, qui a essayé de les calmer. Les supporters n’ont pas trouvé mieux que de s’en prendre à Boukhari qu’ils n’ont pas ménagé. Selon une personne présente sur place, Boukhari a été sévèrement critiqué, voire insulté. Ce comportement aura beaucoup irrité le secrétaire de la section football qui, selon une source digne de foi, devait, hier après-midi, déposer sa démission officiellement sur le bureau de Hannachi. Touché dans son amour-propre, Boukhari a décidé de se retirer quelques semaines seulement après son retour aux affaires administratives du club.

Insulté par les supporters, puis accusé à tort de vouloir saboter le recrutement

Présent au siège de la JSK lorsque le groupe de supporters est venu réclamer au président Hannachi un recrutement qualitatif pour cet été, le secrétaire de section, membre de la commission de recrutement, Saïd Boukhari, n’a pas été ménagé. Selon une source présente sur les lieux, Boukhari a été insulté et on l’aurait accusé de vouloir imposer certains éléments dans le cadre de l’opération de recrutement estival. Un reproche difficile à croire lorsque l’on sait que le dossier échappe même à Boukhari qui, pourtant, figure dans la commission. Une source nous confie que Boukhari se charge uniquement de la préparation des contrats.

L’affaire Mekkaoui l’a irrité et mis mal à l’aise avec ses responsables

Aussi, l’autre raison qui a mis le secrétaire de section, Saïd Boukhari, mal à l’aise depuis quelques semaines, c’est le souhait de la direction de garder Mekkaoui pour une autre saison. Comme rapporté par nos soins, Boukhari a déjà menacé de quitter son poste si le joueur était maintenu. Le latéral gauche, Zinedine Mekkaoui, auteur d’un dérapage, à Sétif a été écarté du groupe à deux journées de la fin de saison. Néanmoins, le joueur a reçu la garantie de la part des dirigeants, notamment les membres du conseil d’administration, de rester pour la saison prochaine. Yarichène a même tenu à révéler au joueur que le président Hannachi tient beaucoup à lui. Une position qui n’a pas manqué de provoquer le courroux au sein même de la maison kabyle. Le secrétaire de section en premier, lui qui a été le chef de la délégation à Sétif, a dressé un rapport accablant sur le joueur qui, selon son écrit, avec copie transmise à la direction, a manqué de respect au club et doit être radié de l’effectif. Selon une source digne de foi, Boukhari, lui, a appris hier matin que le conseil d’administration réuni en session extraordinaire, la veille à Alger, a décidé de garder Mekkaoui. Toutes ces raisons ont poussé Boukhari à présenter sa démission.

Boukhari exaspéré

par les interférences dans la gestion du dossier recrutement

Aussi, d’autres sources nous ont fait savoir que la décision de rendre le tablier qu’a prise Boukhari aurait un lien avec toutes ces interférences qui caractérisent la gestion du dossier recrutement. On croit savoir que la décision d’envoyer le billet d’avion à l’entraineur Mariano Barreto n’a pas fait le consensus au sein de la même commission de recrutement. Se sentant marginalisé lorsqu’il s’agit de prise de décisions, Boukhari a décidé de ne plus poursuivre sa mission à la JSK.

Bien avant, des proches et autres ex-dirigeants lui ont conseillé de se retirer

Selon des sources, on a appris que cela fait quelques semaines que Boukhari songeait à se retirer des affaires du club. Selon nos informations, des proches lui ont conseillé de se retirer depuis plusieurs semaines, mais comme il faisait partie de la commission de recrutement avec Yarichène, Boukhari se voyait dans l’obligation de rester. Selon notre source, Boukhari ne peut plus résister à la pression et craint que la situation ne se complique davantage, d’où sa décision de rendre les clés.

Hannachi pourrait le faire revenir sur sa décision

Toujours est-il que le secrétaire de section, membre de la commission de recrutement, Saïd Boukhari, pourrait éventuellement revenir sur la décision sachant que le président de la SSPA/JSK, Moh Cherif Hannachi, n’aura personne pour s’occuper de la gestion administrative du club, sachant que même le DG de la société, Khouas, a été remercié il y a deux semaines. Selon une source digne de foi, Hannachi usera de son poids et de sa relation avec Boukhari pour convaincre ce dernier à revenir et ça ne sera pas une première.

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Après le souhait des dirigeants de le récupérer cet été

Tedjar persona non grata aux yeux des supporters

Le probable retour de Saâd Tedjar n’a pas laissé les supporters de la JSK indifférents. Il semblerait que ces derniers se montrent toujours rancuniers envers le désormais ex-meneur de jeu de l’USMA. Et c’est à travers les réseaux sociaux que les supporters ont exprimé leur point de vue sur le probable retour de Tedjar au club. La plupart d’entre eux ont clairement fait savoir que le joueur n’est pas le bienvenu à la JSK. Tedjar est donc persona non grata à Tizi ! La réaction des supporters fera certainement changer d’avis les responsables kabyles, qui jusque-là ne l’ont toujours pas contacté officiellement. Aux yeux de certains, même au sein des dirigeants, Tedjar ne fait pas l’unanimité. Le fait que l’USMA l’ait mis à la porte, prouve que Hannachi ne s’est pas trompé dans son jugement lorsqu’il s’est passé de ses services.

Ils n’oublient pas la manière avec laquelle il a quitté le club

En vérité, ce que les supporters reprochent le plus à Tedjar c’est son comportement. En fin de contrat en 2012, Tedjar n’avait plus donné signe de vie à deux mois de la fin de la saison. Mais ce qui a le plus agacé certains, c’est l’accrochage du joueur avec une poignée de supporters au stade. Le joueur s’en était violement pris aux supporters kabyles, qui lui avaient demandé de faire plus d’efforts sur le terrain. Depuis ce jour, Tedjar a quasiment évité le stade de Tizi Ouzou. Après tout ce qu’il a vécu, on voit mal comment la direction fera, à nouveau, appel à lui.

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Chalali demande 200 millions par mois, le CA dit non !

Au moment où la direction kabyle s’occupe beaucoup plus du dossier recrutement d’un nouvel entraineur et quelques nouveaux joueurs susceptibles de venir renforcer les rangs des Canaris la saison prochaine, l’autre dossier qui concerne les joueurs déjà en place est partiellement ouvert et, dans les prochains jours, la direction commencera à les appeler un par un pour consultation. C’est du moins ce que nous a confié un dirigeant kabyle. Par ailleurs et concernant le cas de l’attaquant, Mohamed Chalali, qui se trouve depuis quelques jours en France, pas encore fixé sur son avenir bien qu’il ne soit encore pas libre de tout engagement, étant lié par contrat jusqu’en juin 2014, on croit savoir d’une source digne de foi que le joueur a fait une proposition à la direction avant de partir en vacances. La proposition en question est d’ordre financier bien entendu sachant que, dès le départ, c’est-à-dire à l’arrivée de Chalali l’hiver dernier en provenance de Sétif, il a été convenu de se remettre sur la table des négociations à la fin de l’exercice. Notre source nous a confié que le joueur aurait demandé à sa direction de revoir son salaire à la hausse. Ledit montant est selon des indiscrétions estimé à deux cents millions par mois. Selon nos informations, les membres du Conseil d’administration (CA) qui se sont réunis lundi soir à Alger auraient tout simplement pris la décision de ne pas répondre favorablement à cette demande jugée selon eux excessive.

Un deuxième RDV entre l’agent

de Chalali et les dirigeants en vue

Toujours dans le même contexte, et devant le refus du conseil d’administration kabyle d’offrir à Chalali un salaire de 200 millions par mois, tout porte à croire qu’un deuxième rendez-vous entre le manager du joueur et Chalali lui-même avec les dirigeants est prévu pour les prochains jours. Selon notre source, le joueur, qui se trouve actuellement en vacances, sera appelé par le CA à réviser la demande. En clair, le salaire demandé par le joueur devrait être revu à la baisse. Reste à savoir maintenant si Chalali acceptera de faire cette concession. Pour rappel, avant de signer son contrat à la JSK l’hiver dernier Chalali a fait des concessions à savoir revoir son salaire à la baisse et payer de sa poche la moitié du montant de la lettre de libération.

Les Kabyles refusent le chantagede Mokdad

L’autre cas qui a été soulevé au cours de la réunion du Conseil d’administration de lundi soir est la situation du meneur de jeu, Abdelmalek Mokdad. Selon les informations qui ont filtré de la réunion, les dirigeants n’ont pas apprécié que Mokdad, du moins son agent, doute de la bonne foi des dirigeants, notamment à propos de ses salaires. Les membres du CA ont été stupéfaits de lire les déclarations du manager de Mokdad qui menaçait de recourir à la LFP pour réclamer la libération automatique si le joueur n’est pas régularisé au premier juillet prochain. Un chantage que les Kabyles ont accueilli avec stupéfaction, avons-nous appris d’un dirigeant.

En cas d’échec des négociations, les libérations des 2 joueurs seront mises à prix

Selon un dirigeant kabyle, les négociations avec les deux joueurs auront bel et bien lieu les jours prochains. On croit savoir que les deux Canaris, Mokdad et Chalali seront reçus par le président et devront discuter de leur avenir. Selon nos informations, en cas d’échec des négociations, les lettres de libération de Mokdad et Chalali seront mises à prix et la JSK ne compte pas se séparer de ces deux éléments pour des miettes. Le montant du document sera élevé.

Himeur (agent de Chalali) : «Nous avons formulé nos exigences par écrit»

Joint par nos soins, le manager de Chalali, Himeur, présent en Algérie, nous dira : «Nous avons formulé nos exigences par écrit à la direction de la JSK, à l’heure qu’il est nous attendons toujours la réponse. On comprend bien que les dirigeants soient pour l’instant occupés par plusieurs dossiers, notamment la venue d’un nouvel entraineur et le recrutement de nouveaux joueurs. J’espère qu’on va encore se revoir pour discuter et je vous assure que je suis optimiste quant à la réussite des négociations. Personnellement je suis persuadé que les deux parties vont arriver à un accord.»

«J’avais fait des concessions en signant l’hiver dernier, j’attends le retour d’ascenseur»

Intervenant lundi soir sur le plateau de berbère TV, l’attaquant Chalali a révélé qu’il a fait une proposition aux dirigeants kabyles avant de partir en vacances et pour l’instant il attend la réponse : «J’ai fait une proposition. Même si elle n’est pas concrète, elle reste le souhait que j’ai émis, j’attends que les dirigeants la prennent en considération. Tout le monde sait que lorsque je suis venu à la JSK l’hiver dernier, j’ai fait des concessions et je l’ai fait par amour au club que je porte dans mon cœur. Je vous assure que je ne l’aurais jamais fait pour un autre club. Maintenant, j’attends le retour d’ascenseur de la part de la direction.»

«Pour l’instant, je ne peux ni confirmer ni infirmer si je serai canari la saison prochaine»

Pour son avenir, Chalali affirme n’être pas encore fixé : «Pour l’instant je ne peux ni confirmer ni infirmer si je serai canari la saison prochaine. Tout dépendra de la réponse de la direction. Personnellement je suis très intéressé à l’idée de rester mais à condition que certaines choses soient satisfaites. On a déjà eu une première rencontre qui s’est bien déroulée, je tiens à le préciser, maintenant j’attends toujours la réponse qui devra être connue en principe cette semaine.»

«Dans mon contrat, il y a une clause qui me donne le droit de renégocier pour la nouvelle saison»

Parlant du contrat qui le lie à la JSK jusqu’en juin 2014, Chalali rappelle qu’avec toutes les concessions qu’il a faites à son arrivée à la JSK l’été dernier, il existe dans le contrat une clause qui lui donne le droit de renégocier pour la nouvelle saison : «Certes, je suis lié par contrat jusqu’en 2014, toutefois, avec toutes les concessions que j’ai faites lorsque je suis arrivé, on s’est mis d’accord sur une clause qui stipule qu’à la fin de saison on va se remettre à table pour renégocier. Faute de consensus, chacun est libre de reprendre son chemin.»

«J’ai une grande confiance en les dirigeants,

je sais que ça va bien se passer»

Optimiste de voir sa proposition satisfaite de la part des dirigeants, Chalali dira : «J’ai une grande confiance en les dirigeants et je sais que ça va bien se passer.»

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Le CSC a proposé 1.2 milliard pour le rachat de sa libération

La JSK pourrait perdre Belkaroui

L’affaire Belkaroui est incontestablement le sujet de la semaine à la JSK ! Mais apparemment, le joueur ne fait pas parler de lui uniquement chez les Kabyles, puisque, même à l’USMH, on reste anxieux vu les nombreuses offres que vient de recevoir le joueur. Et au moment où tout le monde pense que le joueur balance entre l’USMH et la JSK, un autre club vient de rentrer en course pour s’attacher les services de l’international algérien. Il s’agit du CSC qui vient de proposer la somme faramineuse de 1.2 milliard de centimes pour le rachat de la libération du joueur, qui, rappelons-le, est toujours lié à l’ASMO. Et c’est dans la matinée d’hier que les dirigeants constantinois ont pris attache avec leurs homologues de l’ASMO pour les mettre au courant de l’offre financière. Une somme conséquente qui n’a pas laissé les dirigeants oranais indifférents. Aux yeux de nombreux observateurs, la nouvelle offre du CSC risque d’éloigner la JSK de la course. Le club kabyle a de fortes chances de perdre Belkaroui, à moins d’une nouvelle offre supérieure à 1.2 milliard, ce qui est quasi impossible.

Le joueur n’est pas resté insensible à l’offre

En plus de ses dirigeants, Belkaroui semble lui aussi intéressé par l’offre des Constantinois. Aux dernières nouvelles, les dirigeants du CSC ont proposé un salaire très intéressant au joueur, qui ne pourra pas refuser. D’après la même source, le défenseur central qui se trouve en stage chez les A’ a pris attache avec les dirigeants de l’ASMO pour leur faire part de l’offre. Il leur a fait savoir aussi qu’il a pris la décision de jouer au CSC, vu que c’est le club le plus convainquant financièrement.

Les dirigeants de l’ASMO exigent 1.5 milliard

Au moment où nous mettons sous presse, la transaction n’a toujours pas été conclue entre l’ASMO et le CSC et ce, même si l’offre des Constantinois est la plus élevée parmi toutes les offres reçues. Pour le moment, les dirigeants du club oranais veulent temporiser quelque peu, en élevant à nouveau la barre des enchères à 1.5 milliard de centimes en échange de la lettre de libération de Belkaroui. Lorsqu’on voit que la somme a grimpé de 700 millions à 1.2 milliard, l’espace d’une semaine, il y a de quoi temporiser !

Yarichène a négocié lundi soir avec Aoudia

C’est désormais officiel, les responsables du club ont entamé les négociations avec l’international algérien, Mohamed Amine Aoudia, pour lui proposer l’idée de revenir à la JSK. Et c’est dans la soirée de lundi que le joueur a rencontré Yazid Yarichène dans la capitale, pour lui faire une première offre. D’après la même source d’indiscrétion, c’est lors de la réunion des membres du conseil d’administration organisée dans la même journée que tout a été décidé. C’est Moh Cherif Hannachi qui a ordonné à Yarichène d’entamer les négociations avec Aoudia. Pour le moment, le joueur a demandé un temps de réflexion afin de penser sérieusement à l’offre des Kabyles, avant de trancher. Mais ce qui est certain, c’est que l’intérêt de la direction demeure entier puisque Aoudia est une priorité.

Un salaire de 180 millions/mois lui a été proposé

Contrairement à Karaoui et à Gharbi, il semblerait que les responsables kabyles ont fait un effort pour s’attacher les services de Mohamed Amine Aoudia. Pour cause, la première offre qui a été proposée au joueur s’élève à 180 millions/mois, avec 4 mois de salaire à la signature du contrat. En d’autres termes, si Aoudia accepte l’offre de Yarichène, il empochera un chèque de 720 millions. Une somme conséquente qui élèvera certainement la cote du joueur sur le marché des transferts cet été.

Des proches du joueur affirment qu’il ne viendra pas

Mais même si Yarichène est en négociations très avancées avec l’attaquant en question, les proches d’Aoudia restent pessimistes quant à sa venue à la JSK. Aoudia a même d’déclaré à certains qu’il ne retournerait plus jamais à la JSK, surtout après ce qu’il a vécu en décembre 2010, lorsque Hannachi l’a transféré pour Al Zamalek. Aoudia n’aurait plus confiance en les dirigeants de la JSK, ce qui risque de l’éloigner encore plus.

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Laïb : «A 90 % Belkaroui restera à El Harrach »

Malgré les offres alléchantes qu’il a reçues de la JSK et du CSC, Belkaroui devrait rester à l’USMH pour une autre saison. Du moins c’est ce que l’on peut déduire de la discussion que nous avons eue hier avec le président de l’USMH, Mohamed Laïb. En effet, tout au long de notre discussion avec le premier responsable de l’USMH, celui-ci paraissait serein quant à une issue favorable du feuilleton Belkaroui. «Comme je vous l’ai déjà dit, à plusieurs reprises, Belkaroui restera à El Harrach et ne quittera pas l’USMH. C’est vrai qu’il était un peu perturbé par les offres qu’il a reçues de la part de certains clubs, mais au fond c’est à l’USMH qu’il veut rester. La direction de l’ASMO, et à sa tête le président, ne voulait pas céder son joueur sans tenir compte de son choix. Cela s’est fait avant-hier. On a rencontré Belkaroui et celui-ci a confié à son président son choix de rester à l’USMH. De notre côté, nous avons tout conclu avec la direction de l’ASMO, et donc Belkaroui sera très probablement harrachi.»