Les poulains de Rachid Belhout n’ont trouvé aucune peine pour décrocher leur qualification aux ½ finales. Ils ont prouvé qu’ils ont les moyens pour remporter cette coupe qui est l’objectif principal du club cette saison.
Leur prestation et leur large succès devant le CRB rassurent leur public, lequel croit plus que jamais en les chances de son équipe de gagner le trophée de la coupe d’Algérie. L’attaquant Farès Hamiti et Sofiane Younès ont fait voir de toutes les couleurs aux Belouizdadis.
Les Canaris ont débuté la rencontre en fanfare puisqu’ils ont réussi à ouvrir la marque à la 13e minute par Hamiti. Recevant une belle passe de Younès, celui-ci n’a éprouvé aucune peine pour mettre le cuir au fond des filets. Malgré ce but inscrit précocement, les Kabyles ont continué à attaquer dans le but de se mettre à l’abri d’une éventuelle égalisation. Cependant, ce sont les poulains de Gamondi qui parviennent à marquer à la 42e minute par Saïbi sur un coup franc direct sifflé par l’arbitre à la limite des 18 mètres. La joie des Belouizdadis n’a duré que deux minutes puisque l’omniprésent réussit à inscrire son doublé après un bon service de Younès.
Tedjar et Younès découragent les Belouizdadis
Accusant un but de retard, les équipiers de Mammeri reviennent avec des intentions offensives au début de la deuxième mi-temps.
Laissant des espaces derrière, ils ont commis des erreurs, comme le fauchage de Remache à la 53e minute par Abdat à l’intérieur de la surface de réparation. L’arbitre désigne le point de penalty et Tedjar chargé d’exécuter la sentence ne s’est pas fait prier pour ajouter un troisieme but. Ne s’attendant nullement à encaisser au début de la deuxième mi-temps, ils ne savaient plus quoi faire. Résultat, ils ont fini par encaisser un quatrième but à la 77e minute par Younès après un retrait de Hamiti. Les Belouizdadis ont perdu tout espoir de revenir au score, mais ils ont réussi quand même à réduire la marque à quelques minutes du coup de sifflet final. En dépit de leur déception, les gars de Laâqiba ont reconnu la supériorité de la JSK.
