Il faut savoir que c’est la commission de sauvegarde de la JSK qui a introduit un recours aux instances qui gèrent le football national pour s’opposer à la qualité de président de club de Hannachi.
Celui-ci avait laissé son poste de président de CSA à Sami Idriss et donc ne pouvait logiquement prétendre être le président de la SSPA, dont la majorité des actions est détenue justement par le club amateur. Le président est, ainsi, dans l’impasse et aura du mal à qualifier ses nouvelles recrues de même qu’à leur délivrer des licences en compagnie d’autres anciens joueurs.
Cela risque de le mener vers la porte de sortie, car ce n’est pas le seul problème auquel il fait face. Il faut savoir qu’avant cela, Hannachi avait vu les chèques qu’il avait signés refuser par la banque où le compte du club est domicilié, pour la même raison, l’opposition du comité de sauvegarde soutient mordicus que Hannachi ne peut être considéré comme président du club kabyle et qu’il doit de ce fait être révoqué. Le patron de la formation chère aux gars de la ville des Genêts est pris au piège et aura du mal à s’en sortir. La pression est constante et ses opposants n’ont pas l’intention de lâcher.
D’ailleurs, ils veulent même le faire condamner pour avoir perçu l’argent des deux joueurs libérés, Benlamri et Mekaoui, alors qu’il devait faire la transaction par le biais de la banque pour qu’il y ai une traçabilité de ces transactions. Quoi qu’il en soit, les jours se suivent et se ressemblent pour le patron de la JSK qui n’arrive pas pour le moment à desserrer l’étau.
Imad M.
