Italie – Nouvelle-Zélande 1-1 : l’Italie accrochée par la Nouvelle-Zélande

Italie – Nouvelle-Zélande 1-1 : l’Italie accrochée par la Nouvelle-Zélande
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Déjà tenue en échec par le Paraguay (1-1), l’Italie a de nouveau été accrochée dimanche, concédant le match nul face à la modeste Nouvelle-Zélande. Avec deux points en autant de rencontres, la « Nazionale » devra impérativement gagner face à la Slovaquie pour se qualifier pour les huitièmes de finale.

Après deux journées, l’Italie compte autant de points que la Nouvelle-Zélande dans un groupe F très indécis où les quatre équipes peuvent encore se qualifier. Le Paraguay, vainqueur 2-0 de la Slovaquie dimanche, pointe pour le moment en tête avec quatre points.

Plutôt qu’agir, la Squadra Azzurra a de nouveau dû réagir dimanche, comme contre le Paraguay. Menée 1-0 après sept minutes de jeu après un but sur coup franc de Shane Smeltz, vraisemblablement hors-jeu, elle a égalisé sur penalty par Vincenzo Iaquinta (29e), avant de faire en vain le siège du but adverse.

Pendant la majeure partie du match, l’Italie aura buté sur le gardien néo-zélandais Mark Paston, auteur de nombreuses parades et seulement battu sur un penalty.

En face, Federico Marchetti, remplaçant du titulaire Gianluigi Buffon, victime d’une hernie discale, cédait dès la 7e minute sur un but de Shane Smeltz. L’attaquant néo-zélandais se retrouvait seul devant le portier italien, héritant d’un ballon dévié de la tête par un coéquipier et touché par Fabio Cannavaro.

Ce but donnait le coup d’envoi des vagues italiennes sur le but adverse. Simone Pepe (10e) et Giorgio Chiellini (17e) s’employaient d’abord sans succès, avant que Iaquinta égalise sur penalty, sifflé pour une faute de Tommy Smith sur Daniele de Rossi.

Les deux équipes rentraient aux vestiaires à égalité, et les Italiens reprenaient leur siège du but de Paston dès le début de la seconde période. Mais ni De Rossi (45e), ni Antonio di Natale (49e, 80e), ni Riccardo Montolivo (70e) ou Mauro Camoranesi (79, 88e) ne parvenaient à cadrer ou à tromper la vigilance d’un Mark Paston visiblement imbattable.

La modeste Nouvelle-Zélande, présentée comme une des sélections les plus faibles de la compétition, aurait même pu réussir le hold up parfait, Chris Wood manquant de peu le cadre à la 82e minute.