Personne n’ignore les conséquences qui peuvent en résulter sur la santé publique et sur l’environnement dont les dioxines qui constituent un groupe de composés chimiquement apparentés qui sont des polluants organiques persistants dans l’environnement.
Le phénomène de l’incinération des déchets dans les quartiers du chef-lieu de wilaya et dans d’autres localités intrigue le premier responsable de la gestion des centres d’enfouissement technique. Dans une déclaration faite à la presse, Miloud Benaradj, directeur général de gestion des CET de la wilaya de Aïn Témouchent, n’a pas mâché ses mots, même s’il dit ignorer qui du citoyen ou de l’ouvrier communal qui a la charge de collecter les ordures ménagères. Personne n’ignore les conséquences qui peuvent en résulter sur la santé publique et sur l’environnement dont les dioxines qui constituent un groupe de composés chimiquement apparentés qui sont des polluants organiques persistants dans l’environnement. Le DG des CET a mis en exergue les mécanismes que son organisme a mis en place pour lutter contre les incinérations anarchiques des déchets et leur prolifération à travers certains quartiers et autres groupements d’habitations qui cause de grands risques et des désagréments à la santé publique. À ce titre, il a annoncé que le CET de Sidi Yamine est mis à la disposition des citoyens pour déposer leurs déchets inertes à titre gratuit avec la dotation d’autres bacs à ordures au profit des quartiers, en coordination avec les P/APC. M. Benaradj a tenu à préciser que des conventions ont été signées entre les CET et les collectivités locales pour une bonne prise en charge de la gestion des ordures ménagères et des déchets solides. Pour lui, l’État a mis tous les moyens nécessaires dont la création des CET et la disponibilité de la direction de l’environnement à œuvrer pour la lutte contre les atteintes à l’environnement en inculquant au citoyen la culture environnementale. La disparition des bacs à ordures est l’autre phénomène qui intrigue les responsables des collectivités locales et le DGT des CET même si leur nombre reste insuffisant.
M. LARADJ
