Selon le quotidien El Watan, Lors d’une réunion mercredi dernier avec les représentants de la Safex, des concessionnaires affiliés à l’AC2A, l’association des concessionnaires automobiles, s’étaient montrés divisés quant au maintien ou au report du salon de l’automobile d’Alger. Ce jour-là, beaucoup avaient émis le souhait de reporter ce rendez-vous du fait de l’impossibilité d’avoir des modèles à la date fixée lorsqu’on sait le long chemin du processus d’importation des véhicules : homologation (trois mois au minimum et autant pour l’importation des premiers lots).
D’autre part, la non-attribution des quotas dans le cadre des licences d’importation pour chaque marque empêche les concessionnaires d’avoir plus de visibilité quant à la stratégie à adopter pour leur avenir. La majorité des concessionnaires craignent «un creux» dans leurs activités à partir du mois d’avril si les importations ne sont pas libérées. Pire, d’autres représentants de marques risquent même une année blanche ou tout simplement la fin de leurs activités en Algérie.