La Pharmacie centrale ne semble pas pressée de passer commande pour des médicaments utilisés en oncologie, alors qu’ils ont été enregistrés depuis quelques mois par le ministère de la Santé et les laboratoires autorisés à les commercialiser en Algérie, apprend-on d’une source proche du dossier. Cette situation risque de favoriser les importations par, comme on dit, “le cabas”. Une importation qui échappe à tout contrôle.

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