Le procureur général près la cour de Annava a prolongé la période de détention du ressortissant français « Jean-Michel Broche » de 48 heures au niveau de la sureté de la wilaya de Annaba, pour terminer les interrogatoires de toutes les parties concernées dans la constitution d’un réseau international spécialisé dans les avortements, le tournage de films pornographiques avec des mineurs et des personnalités influentes de la wilaya , dont des médecins, des cadres supérieurs et le vice-président d’APC.
Les services de sécurité ont également convoqué un imam connu de la wilaya pour l’interroger sur les procédures d’un contrat de mariage entre le ressortissant français et deux jeunes filles dans son domicile de Annaba. Ce qui a suscité des interrogations sur les procédures légales dans lesquels cette opération a été effectuée, sachant que le concerné n’a pas effectué officiellement les procédures légales suivi pour se convertir à l’islam. Selon les informations qu’a obtenu El Khabar la demande de prolongement de la période de détention du ressortissant français s’est fait sur demande des services de sécurité après avoir obtenu de nouvelles informations sur les liens entre le suspect principal avant qu’il ne vienne en Algérie depuis la Tunisie, avec la famille Trabelsi, l’épouse du président déchu Zine El Abidine Ben Ali, puisque le prévenu avait des liens, avant le début de la révolution contre le régime Ben Ali, avec un des fils de la famille Trablesi, il avait ensuite fui la Tunisie vers l’Algérie à cette période, et avait choisi Annaba comme nouvelle ville pour relancer ses activités, le prévenu a selon nos sources créer une agence fictive de tourisme et de découverte de reines de beautés, comme couverture pour le blanchiment des sommes pharamineuses amenées de Tunisie, et qu’il avait mis dans un compte personnel dans une banque locale. Les services de sécurité de Annaba ont fait appel à une équipe spécialisée de la DGSN, pour décrypter les informations des équipements informatiques portables et des téléphones portables du ressortissant français, pour chercher des informations cachées que le suspect principal tenterait de cacher aux enquêteurs, qui révéleraient les liens suspects entre l’accusé et des personnalités influentes en Tunisie et en France, le prévenu aurait selon nos sources des liens avec une personnalité française dont les enquêteurs essayent de déterminer l’identité, en décryptant le disque dur et tous ses messages électroniques cryptés. Des sources ont indiqué à El Khabar que les services de sécurité ont obtenu une injonction du parquet pour obtenir toutes les transactions bancaires effectuées durant son séjour en Algérie, l’origine de ses avoirs gelés au niveau de cette banque.
