C’est en hommage à tous les éboueurs, à tous ces «médecins» de notre cité, qu’InfoSoir a pris l’initiative de rencontrer cette catégorie de travailleurs et de sillonner, avec elle, les ruelles étroites de La Casbah.
Des travailleurs qui ne demandent rien d’autre qu’un «minimum de respect et de sécurité» . Mais malheureusement, l’époque où les Casbadjis offraient du café et des gâteaux aux cantonniers, semble révolue. En ce temps-là, ces travailleurs étaient respectés et leur travail valorisé et apprécié à sa juste valeur.
R. K.