Crimes n A cause d’un mégalomane qui voulait venger toutes les victimes du World Center de New York et dont le père disait qu’il traînait encore de graves problèmes psychologiques, l’Irak a été littéralement détruit par l’armée américaine et ses alliés.
S’il y a des individus qu’on devrait faire comparaître devant la Cour internationale pour crimes contre l’humanité, c’est bien Georges Bush et Nicolas Sarkozy.
Le premier pour avoir détruit l’Etat irakien, pillé son pétrole et ses richesses et affamé son peuple et le second pour avoir désarticulé la Jamahyria libyenne et dynamité le seul barrage qui retenait jusque-là l’immigration africaine vers l’Europe, Muammar El-Gueddafi.
Résultat, l’Etat islamique menace aujourd’hui la sécurité et la stabilité du monde et les centaines de milliers de réfugiés arabes et africains déferlent par vagues entières sur l’Europe qui n’en peut plus. L’Europe et l’Amérique reçoivent ainsi en plein visage le boomerang qu’ils avaient lancé. A cause d’un mégalomane qui voulait venger toutes les victimes du World Center de New York et dont le père disait qu’il traînait encore de graves problèmes psychologiques, l’Irak a été littéralement détruit par l’armée américaine et ses alliés. Alors qu’aucun stock d’armes de destruction massive n’existait dans le pays, chose que les enquêteurs de l’AIEA de Vienne confirmeront officiellement, Bush envahira l’Irak et bombardera Bagdad.
Ses troupes se livreront à toutes sortes d’abus, vols, pillages, exécutions sommaires, arbitraires.
La prison d’Abou Ghraîb deviendra aussi célèbre que celle de Guantanamo.
Les principaux dirigeants du régime seront traqués dans tout le pays et leur tête mise à prix exactement comme au temps des cow-boys et des saloons de la ruée vers l’or.
Pour mettre fin à la surprématie des sunnites, qui avaient le pouvoir, les Américains procéderont à la situation inverse en remettant tout le pouvoir à El Maliki, un chiite pur et dur. Au bout de quelques mois d’un régime à 100 % chiite, tous les sunnites de l’armée, de l’administration et des divers ministères seront au chômage, souvent sans retraite. Le pétrole des Irakiens sera vendu au compte-gouttes juste pour les nourrir et les empêcher de mourir de faim. Des fortunes colossales ont été montées par les inspecteurs des Nations unies en charge de la commercialisation de ce brut.
Selon des sources très fiables, les plus honnêtes d’entre eux se faisaient payer leur mission et leur salaire grâce à la vente de ce pétrole. Ils se faisaient rembourser même leurs blocs notes, leurs stylos et leurs gommes.
Imaad Zoheir
