L’alliance d’essence islamiste Adala-Ennahda-Bina, par la voix du député Hacène Aribi, incite les pouvoirs publics, principalement la ministre de l’Éducation nationale, à programmer une deuxième session du bac au profit de quelque 2 000 candidats exclus des épreuves pour être arrivés légèrement en retard aux centres d’examen. Selon le parlementaire, soutenu par sa tutelle politique, ces candidats et leurs parents sont en détresse. Ils ne conçoivent pas de rater le bac pour une ou deux minutes de retard. Il exige, par ailleurs, l’ouverture d’une enquête sur cette affaire.

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