Ils ont semé le chaos : la police française fait tomber 3 Algériens

Ils ont semé le chaos : la police française fait tomber 3 Algériens

Trois Algériens ont semé une véritable débandade dans la petite ville côtière de Cerbère en France. Ce qui a mené les habitants de cette ville à déposer plainte et faire part de leur exaspération quant aux actes délictueux des migrants.

Ils tentent de voler une moto, dégradent des véhicules et s’en prennent aux habitants et même aux policiers. Les trois jeunes Algériens ont été arrêtés et condamné à la prison avec sursis.

Vol, mensonges et indifférence

Les faits se sont produit le 29 décembre dernier. Les habitants de Cerbère ont surpris trois jeunes migrants algériens en train de voler un scooter. Pris de panique, les malfaiteurs tentent de s’enfuir, mais ont été happés par les habitants.

Cependant, les trois jeunes ne voulaient surtout pas être livrés à la police. Une bagarre alors éclate entre les habitants et les mis en cause. Ces derniers prennent alors la fuite, mais repérés un peu plus loin par de proches de la victime.

Armés d’un bâton, les 3 Algériens s’en prennent alors à la voiture de celui qui les poursuivait et celle des autres intervenants. Une autre bagarre s’ensuit. Même la policière n’a pas échappé à la menace de ces malfrats.

Sur le banc des accusés, les trois mis en causes nient en bloc toutes les accusations qui leur sont reprochés « malgré plusieurs témoignages » à leur encontre. « On n’a rien fait, on marchait et on nous a attaqués. C’est le quatrième qui a causé les dégâts et cassé la direction du scoot. On veut rentrer en Algérie », expriment les prévenus cités par le média français « Le Midi Libre ».

Le procureur visiblement excédé par leurs mensonges fustige : « Ils ne se comportent pas comme des gens qui veulent s’intégrer, (…) Ils mentent sans arrêt » faisant savoir que les trois jeunes ont d’abord menti sur leur âge et nationalité faisant croire qu’ils sont mineurs et palestiniens. Le parquet requiert, de ce fait, 10 mois ferme.

Finalement, le tribunal a condamné les trois Algériens à 1 an de prison avec sursis et une interdiction de séjour dans les Pyrénées-Orientales.