La brigade de protection des mineurs de la Gendarmerie nationale de Chlef a réussi à libérer une femme qui était retenue captive par un individu de 37 ans, déjà connu des antécédents judiciaires, dans la commune de Sidi Akkacha. L’homme l’avait torturée pour forcer son ex-mari à retirer une plainte concernant le viol de ses enfants mineurs.
Les faits de l’affaire remontent au dépôt d’une plainte auprès de la brigade de protection des mineurs par un citoyen, concernant l’agression sexuelle de ses enfants mineurs, dont la garde était confiée à son ex-épouse, par le mis en cause.
En représailles, ce dernier a enlevé la mère des mineurs et l’a séquestrée dans une grotte montagneuse près de son domicile, lui infligeant diverses formes de torture pour contraindre le père des victimes à retirer sa plainte.
Après d’intenses investigations et le recueil de renseignements permettant de localiser la victime, la brigade de sécurité et d’investigation de la Gendarmerie nationale de Ténès a été mobilisée, qui a réussi à arrêter le suspect, caché entre les rochers dans une zone forestière. Ce qui a permis la libération de la victime.
Cette dernière était attachée aux jambes et menottée, présentant de nombreuses blessures et contusions sur tout le corps. En effet, des outils de torture ont été saisis, notamment une pince et deux couteaux.
Il faut dire que le suspect fait face à de grave d’accusations : Séquestration sans autorisation des autorités compétentes, torture sur personnes dont des mineurs, viol sur mineur, attentat à la pudeur avec violence sur mineurs, détournement de mineurs et incitation à la débauche, menaces de mort et mise en danger de la vie d’autrui.
Après l’accomplissement de toutes les procédures légales, le suspect a été présenté devant les autorités judiciaires compétentes.
Oran : Une vidéo choquante révèle un présumé prédateur sexuel de mineurs
Une onde de choc a traversé la wilaya d’Oran suite à la diffusion d’une vidéo bouleversante sur les réseaux sociaux. La séquence, contenant l’audio d’une personne en détresse, suggérait une agression sexuelle en cours sur un mineur.
L’affaire a pris une tournure dramatique lorsque des sources locales ont révélé que le suspect, un trentenaire résidant à Hai Bouamama, serait un prédateur sexuel récidiviste. Le nombre présumé de victimes s’élèverait à une quarantaine de mineurs, bien que ce chiffre n’ait pas été officiellement confirmé par les autorités.
Face à l’indignation publique et à la viralité de la vidéo, la police judiciaire d’Oran a rapidement réagi. Une opération ciblée a permis l’arrestation du suspect principal et d’un complice présumé. Les deux hommes ont été placés en garde à vue dans l’attente de leur présentation devant le procureur.
Cette affaire met en lumière le rôle crucial des réseaux sociaux dans la dénonciation de crimes graves. L’enquête préliminaire se concentre désormais sur la vérification des faits, l’identification des victimes et la détermination du rôle exact du complice présumé.