Un collégien, admis en deuxième année, n’a pas encore rejoint les bancs de classe. Il a fait jusque-là sa scolarité dans un établissement privé. Ses parents, pour des raisons objectives, ont décidé de le mettre à partir de cette rentrée scolaire dans un CEM public. Ils ont réussi, en effet, à l’inscrire au CEM Chabati, de Dély Ibrahim.
Son inscription n’a pas été validée par la directrice de l’éducation Alger-Ouest, au motif qu’elle a reçu des instructions de la tutelle pour bloquer les transferts des élèves des écoles privées vers les établissements publics. Une décision incompréhensible, d’autant que la scolarité est obligatoire jusqu’à la fin du cursus moyen. Les parents sont complètement dans le désarroi.