Il agresse un jeune à coup de machette en France : un Algérien écroué

Il agresse un jeune à coup de machette en France : un Algérien écroué

L’agression sous toutes ses formes est devenue aujourd’hui un terrible affront à la civilité. Pis encore. Elle est cette force « menaçante » qui provoque de la peur dans la vie quotidienne. Et qu’on peine parfois à en expliquer les raisons. Le phénomène est en croissance constante et le nombre de victimes renseigne sur la nécessité d’investir davantage de moyens pour y faire face.

Un jeune d’une vingtaine d’année a été violemment agressé, jeudi dernier, dans une ville située au centre de la France. Le présumé auteur de cette agression n’est autre qu’un jeune algérien de 26 ans. Ce dernier avait frappé sa victime à coup de machette le blessant grièvement à la main.

Interpellé, le jeune Algérien arrivé en France en 2018, a été déféré devant le tribunal correctionnel, dans le cadre d’une procédure de comparution immédiate. Il devra répondre aux faits qui lui sont reprochés. Mais le présumé agresseur nie toutes les accusations, selon le média français La Montagne.

Il nie en bloc être l’auteur de l’agression

Le jeune autoentrepreneur qui livre des repas à domicile, a nié en bloc toutes les accusations portées à son encontre. Le mis en cause qui devait être jugé le 13 décembre dernier devra donc attendre la fin du mois en cours pour le début de son procès. Un supplément d’information a été ordonné par le tribunal correctionnel dans cette affaire.

L’objectif étant de rechercher des empreintes digitales et génétiques sur la machette retrouvée chez lui sous son matelas, selon la même source, ajoutant que les taches de sang sur ces vêtements seront également analysées afin d’élucider cette affaire.

Alors que le présumé auteur devait sortir de sa garde vue le 11 décembre dernier, il se voit aujourd’hui maintenu en détention provisoire « au vu de risque de renouvellement de l’infraction et du manque de garantie de représentation devant la justice », selon la même source. La victime, elle, s’est vue prescrire 90 jours d’incapacité totale de travail.