C’est par ces propos que le coach Harmattalah d’Umm Sallal a tenu à rassurer les supporters de l’international algérien.
En effet, l’entraîneur marocain était fou furieux contre les écrits de presse parus hier au Qatar et qui donnaient l’international algérien indisponible pour une longue durée. L’«information» a été publiée par le journal El-Arab qui précise que les examens médicaux que le joueur a passés ont «révélé qu’il n’est toujours pas remis de sa blessure au niveau de la cuisse» et que son indisponibilité risque de durer encore. Une information que Harmattalah a tenu à démentir. En effet, joint par nos soins hier en début de soirée, le coach d’Umm Sallal s’est dit outré de lire ces «allégations dans les journaux. Il suffit que le journaliste qui a écrit le papier se présente à l’entraînement et constater lui-même que Mourad Meghni va bien et ne souffre d’aucune douleur», insiste-t-il dans l’entretien qui suit.
– Est-il vrai que Meghni est blessé ?
– C’est archifaux, il n’est pas blessé. D’ailleurs, il s’est entraîné avec nous aujourd’hui le plus normalement du monde (entretien réalisé hier). Il ne souffre d’aucune blessure. Il est en train de suivre un programme spécial pour rattraper son retard sur le plan physique.
– Donc, il ne ressent aucune douleur à la suite de sa dernière blessure
– Je peux vous assurer qu’il s’est complètement rétabli de sa blessure et qu’il est en train de suivre un programme spécial pour revenir vite en compétition.
– Quand retrouvera-t-il la compétition ?
– Pour ce dimanche contre Al-Ahly, il ne sera pas présent, mais je peux vous assurer qu’il reviendra le 6 novembre à l’occasion du match de la coupe de la ligue.
– Qu’attendez-vous de Meghni ?
– Franchement, j’attends beaucoup de lui, car c’est un joueur exceptionnel qui a beaucoup de qualités techniques. Je suis sûr et certain qu’avec son retour et celui de l’international Syrien, Al-Khatib, notre équipe aura un meilleur visage.
– Un mot pour conclure…
– Je profite de cette occasion pour saluer tous les sportifs algériens.
K. H.
