«Je ne suis pas novice dans le football pour descendre en flammes un joueur de mon équipe. Je suis là pour gérer mon équipe et instaurer une discipline. Aoudia a fauté quelque part. Maintenant, il est en équipe nationale.
A son retour, on va d’abord se réunir avec lui et par la suite on va voir ce qu’on va faire. Autrement dit, on réglera cette affaire dans les prochains jours. A la JSK, on ne travaille pas au pif. Il y a des règlements et la discipline est toujours notre devise. Désormais, celui qui fautera, il va payer. Il y a une commission de discipline qui va tout contrôler à l’avenir.
«Je ne sais pas pourquoi on a été sanctionnés par la CAF»
«En ce qui concerne cette sanction de la CAF, je ne sais pas pourquoi on a été sanctionnés. Nos supporters n’ont rien fait durant le match de TP Mazembe. Rien ne s’est passé durant cette rencontre. Personne n’a touché les officiels et les joueurs adverses, je ne comprends pas pourquoi on a été sanctionnés.»
«On s’est habitués aux amendes»
«Pour clore ce sujet de la sanction de la CAF, on s’est habitués aux amendes. Au lendemain de chaque match, on est sanctionnés et obligés à payer des amendes qui dépassaient les 20 000 dollars. Que voulez-vous faire, après l’élimination, on sera obligés de payer cette amende.»
«On préparera le match de l’USMH comme il se doit»
«Après la victoire de samedi dernier, les joueurs ont bénéficié de repos. Ces derniers avaient enchaîné cinq matchs en l’espace de deux semaines seulement. Maintenant, on ne va pas jouer jusqu’au prochain week-end. Les joueurs vont bien récupérer et on préparera ce match devant l’USMH comme il se doit.»
«La JSK reviendra en force en championnat»
«Après notre élimination en Ligue des champions, on sera obligés de revenir en force dans le championnat. Cependant, j’avoue que c’est difficile pour un joueur de passer de la coupe d’Afrique au championnat. Après la victoire de samedi dernier, les joueurs ont retrouvé le moral et la joie de jouer. Il faut maintenant enchaîner avec d’autres succès pour récupérer les points qu’on a perdus.»
