Pour Halilhodzic, il faut dire ce que l’on pense, quitte à écoper d’une suspension. Il l’a clairement déclaré lors du point de presse. Mais, il a aussi défié ses propres dirigeants : «Moi, je dis ce que je pense et toujours, ce que j’ai à dire, je le dis. Je ne trouve pas d’inconvénient à parler, à critiquer pour écoper ensuite une amende. Après le match de la Croatie, on m’a demandé pourquoi j’avais critiqué l’arbitrage, même mes responsables étaient fâchés et ils m’ont demandé de ne plus parler d’arbitrage, mais je continuerai à le faire».

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