L’ Ambassadeur d’Algérie en Tunisie, Abdelkader Hadjar, a été surpris de ce qui a été rapportés certains médias à propos des familles de prisonniers algériens en Tunisie, l’accusant de ne avoir assumer sa mission de les défendre.
Abdelkader Hadjar, a déclaré, hier, dans un communiqué au quotidien Echourouk, qu’ il a rencontré le Premier ministre tunisien, Hamadi Djebali, où la question de l’amnistie pour les prisonniers a été traitée pour marquer l’anniversaire de la révolution. notre interlocuteur a exprimé lors d’une conférence de presse après la réunion son optimisme sur la grâce des prisonniers algériens, et déclarant qu’ une rencontre du comité de suivi algéro-tunisien, au lieu prochainement comme un prélude aux travaux du Haut Comité mixte.
Selon l’ambassadeur d’Algérie à Tunis, «les services de l’ambassade a préparé une liste nominative de 53 prisonniers algériens, dont les jugements allant, entre 10 et 46 ans. et personne n’est accusé dans des affaires de terrorisme. Contrairement à ce que certaines familles ont affirmé, Hadjar a souligné qu’il n’avait reçu aucune lettre des préoccupations des familles, indiquant qu’il y a un an que le ministère des affaires étrangères tunisienne, a informé l’ambassade sur amnistie, mais qu’il avait reçu des lettres de remerciements des familles des libérés.
