Hadj: Les malchanceux au tirage demandent une seconde chance

Hadj: Les malchanceux au tirage demandent une seconde chance

Ils sont à 18-17 ou 16 années de tentative au tirage au sort, à l’effet de décrocher le billet pour l’accomplissement du cinquième pilier de l’Islam, mais en vain.

Certains sont nés en 1925, 1929, à l’exemple de ce vieil homme de Aïn-Séfra, né en 1930 qui postule depuis 13 années, mais sans résultat.

Ces malchanceux candidats, qui d’une année à une autre, tentent leur chance, ne savent plus à quel saint se vouer. Ils sont désespérément touchés par la malchance et la vieillesse, mais également par la pratique du tirage au sort et les quotas attribués aux communes.

Ces derniers interpellent les pouvoirs publics à l’effet de trouver une solution, un tirage ou un quota, spécialement réservé à cette frange de candidats, et que les quotas ne devront pas être attribués suivant le nombre de la population, mais suivant le nombre des inscrits ou même une priorité aux plus âgés, indique-t-on.