« On ne peut pas aller plus vite que les événements. Tant qu’il n’y a aucune proposition concrète, je n’ai pas à donner mon avis. »
Saïd Haddouche, qui exerce entre autres le métier de formateur auprès de la Fédération royale belge, confirme le récent contact qu’il a eu avec le président Raouraoua, sans pour autant rentrer dans les détails.
On laisse entendre que le président de la FAF vous aurait contacté. Qu’en est-il au juste ?
Il est vrai que j’ai eu des contacts avec le président Raouraoua, mais je considère cela comme des échanges et des discussions.
Q’est-ce que vous avez abordés avec lui ?
Un contact tout ce qu’il y a d’ordinaire. On s’est échangé des informations sur différents aspects liés à notre métier, sans que nous n’ayons défini quelque chose.
Quel point avez-vous le plus abordé ?
On a discuté du football et de ses progrès dans le monde. On a aussi parlé de la DTN et de la façon avec laquelle elle doit être gérée et son rôle.
Des rumeurs circulent sur la possibilité de vous confier le poste de DTN ou à la limite un poste de conseiller au sein de cette direction…
Les gens spéculent et disent ce qu’ils veulent. Croyez-moi, on a juste eu un échange de points de vue sur différents aspects liés au football.
N’avez-vous pas senti à travers ce contact que Raouraoua a tâté le terrain en vue de vous faire une éventuelle proposition ?
(Il sourit.) Raouraoua ne m’a proposé aucun poste.
Accepteriez-vous de venir travailler en Algérie, au sein de la DTN ou de l’Equipe nationale si on faisait appel à vous ?
On ne peut pas aller plus vite que les événements. Tant qu’il n’y a aucune proposition concrète, je n’ai pas à donner mon avis.