La capitale guinéenne, Conakry, était paralysée lundi par une grève contre l’augmentation de 25% du prix du carburant à la pompe, émaillée de quelques incidents entre manifestants et forces de l’ordre, ont rapporté des médias. Selon les médias, le mouvement a été déclenché pour une journée le 4 juillet par l’intersyndicale CNTG-USTG (Confédération nationale des travailleurs de Guinée-Union syndicale des travailleurs de Guinée) et reconduit de lundi à mercredi. Aucun véhicule de transport en commun n’a quitté les gares routières de la capitale et les taxis collectifs urbains ne circulaient pas depuis le début de la matinée.
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