Guendouz «On veut faire croire aux gens que la génération de 82 est toujours en poste… C’est faux !»

Guendouz «On veut faire croire aux gens que la génération de 82 est toujours en poste…  C’est faux !»

“Il est vrai que j’ai postulé au poste de sélectionneur de l’Equipe nationale A’. En marge du match Algérie-Maroc qui s’était déroulé à Annaba, nous en avons discuté, Raouraoua et moi.

Le président de la FAF m’avait dit qu’il prendrait une décision au début du championnat. J’ai fait la demande de driver les A’. J’ai des compétences. C’est mon droit de le demander, machi m’ziya, J’ai gardé ma dignité. Je n’ai harcelé personne pour avoir le poste. Je ne suis pas resté l’oreille collée au téléphone. J’ai senti que quelque chose se passait, qu’on évitait de répondre à ma demande… mais je n’ai relancé personne. On veut faire croire aux bonnes âmes que la génération de 82 est toujours en activité. Je dis que c’est faux. Je ne veux pas qu’il y ait un malentendu entre les anciens de 82 et je ne cherche pas la polémique avec mes anciens coéquipiers de l’EN. Je dis simplement que Kourichi est aujourd’hui adjoint, il n’est pas le décideur. Le responsable des résultats de l’Equipe nationale n’est autre qu’Halilhodzic. Les mises en place en A’ ne sont en fait que des calculs. Quand les décideurs ont voulu barrer la route à Madjer, ils ne s’y sont pas pris autrement. Les mêmes personnes ont été nommées en 2005, après le départ de Waseige. On va dire que les deux mondialistes qu’on vient de désigner à la tête de la sélection des A’ sont proches de Guendouz.”



«Il y a de la manipulation dans cette désignation. On veut créer la fitna entre les mondialistes de 82, comme on l’a fait avec Madjer»

«Il n’ y a pas l’ombre d’un doute en ce qui me concerne, cette désignation cache un relent de manipulation. On veut monter les uns contre les autres. Je peux dire que Fergani est passé par toutes les sélections, avec Belloumi comme adjoint, mais Ali est aussi un frère tout comme Belloumi. On veut créer la fitna entre les mondialistes de 82, comme on l’a fait avec Madjer. Les gens doivent savoir que je n’ai pas passé mon temps à chercher après x ou y. J’ai continué à dire ce que je pensais devant tout le monde et à la presse. Je n’ai pas changé. Très récemment, j’ai pris le téléphone et discuté avec un membre du Bureau fédéral. Je lui ai dit ce que je pensais de la situation du football et de sa dégradation. Il a compris que je  n’étais pas demandeur.»

LG Algérie