«Pour l’heure, je ne peux prétendre dire que je connais assez bien le jeu africain. J’ai eu beaucoup de joueurs africains sous ma coupe et ça s’est toujours bien passé. En Ethiopie, notre tâche sera compliquée, d’autant que les conditions de jeu ne seront pas adéquates, avec l’altitude et la chaleur qu’il y a là-bas. Ajouter à cela le voyage qui risque d’être épuisant. Je n’ai pas encore une idée formelle sur cet adversaire, mais d’ici là, on verra.»
«Le Mali, je connais, un peu moins le Malawi»
«Pour ce qui est du Mali, je connais assez mieux cette équipe, du fait que mal de ses joueurs évoluent en Europe, en France plus particulièrement. Le Malawi, j’ai pu le voir à l’œuvre quand j’étais à Cotonou. Ça m’a permis d’avoir une vision, mais ce n’est pas suffisant.»
«Le facteur temps, mon seul handicap»
«A vrai dire, ce qui me pose problème, c’est le manque de temps que je vais avoir pour préparer idéalement les deux premiers matchs. Je vais compter sur l’aide de tout le monde pour réussir ces deux premiers tests.»